3 ans, cela allai faire 3 ans qu’ils étaient morts, trois années que les parents de Sosuke était morts, celui-ci n’arrêté pas de ressassé ses mauvais souvenir. A quoi servais donc la vie si on pouvais la perdre en moins d’un quart de seconde ? Quel être pouvais faire de la vie humaine une condition si misérable ? les dieux étaient ils si cruel que sa pour condamné les Hommes à périr aussi facilement ? Ou es-ce que les hommes son tellement corrompu qu’ils se fiche pas mal de la vie d’autrui ? Voila les question qu’il se posais. Se qui était sur c’est qu’il ne voulait parler à personne, et encore moins à un ou une imbécile. Pourtant comme tous le monde le sais se que l’on désire n’arrive jamais, il se fit donc bousculer par quelqu’un.

-Kuso ! lâcha-t-il lorsqu’il se fit bousculé.

Il se releva et dit

-Bon sang t’est pas capable de faire gaffe quand tu marche ?

Il ne fit même pas attention à la personne qui l’avais bousculé qu’il commença à se barré loin de cet ou cette imbécile de service

Miharu, toujours à ses habitudes étaient perdues dans ses pensées qui concernaient son Onii-san. Même si cela faisait longtemps qu’elle se posait la même question, elle continuait sans cesse à se la poser : Pourquoi son frère l’avait-elle inscrite dans ce lycée ? Pourquoi ne pas avoir choisi un autre ? Peut importe combien de fois, elle s’interrogeait, nul ne pourrait y répondre.
Puis elle se souvint de la promesse qu’elle lui avait accordée. Celle de s’amuser avec de nouveaux amis. Cela n’allait pas être une tâche aisée, en effet, Miharu n’arrive pas à discuter. Elle fut surprise, c’était la première fois qu’elle éprouvait une certaine nostalgie qui durait éperdument. Elle baissa de nouveau sa tête et ne pensa plus à rien. Le vide. Puis, arrivée au hall sans qu’elle s’en aperçoive, elle heurta une personne dont elle entendit un grommèlement suivi d’un mot ‘grossier’:
« Kuso ! »

Miharu, resta par terre.
*Depuis quand y avait il quelqu’un ?*
De nouveau elle entendit la voix de la même personne,coléreuse, et qui se relevait. C’était un timbre de garçon.
« Bon sang t’es pas capable de faire gaffe quand tu marches ? »

Au premier abord, Miharu se redressa et le regarda avec méfiance. Elle n’aimait pas les garçons. Mais voyant qu’il quittait l’endroit, elle se sentit soulagée mais avait un sentiment de révolte envers lui. Pourquoi ? Miharu repensa alors aux
derniers mots qu’il lui avait adressés. Le sentiment de méfiance se mélangea à
celui de la révolte qu’elle éprouvait pour les garçons. Alors elle lança durement, de manière à ce qu’il entende :
« Dis donc ! Je te signale que toi aussi tu aurais pu regarder devant toi !! »

*Non, mais vraiment les garçons !! Qu’est-ce qu’ils s’imaginent ?*
Sur ce, elle se dirigea vers lui, attendant des excuses. Ses yeux argentés montrant de la colère. Voire de la haine.

-Dis donc ! Je te signale que toi aussi tu aurais pu regarder devant toi !!

la voix était sans conteste féminine. Se retournent de son mètre quatre vingt dix Sosuke détailla la jeune femme devant lui. Ses yeux rouge la balayait tel un rayon X, ses cheveux était Violet bleuté et suffisamment long, ses yeux d'argent exprimé un mélange de deux sentiment voir trois, la haine, la colère et la révolte. Sosuke lâcha tous simplement un

-Hn

Avant de repassez au reste du corps, son chemisier blanc de lycéenne caché bien mal ses forme assez généreuse, sa jupe laissais voir ses longue jambe. Mal grés tous Sosuke devait avoué que cette fille était mignonne mais il ne pouvais s'attardé trop longtemps avec elle. Il dit d'une voie glacial


-Je te ferais dire gamine que c'est toi qui ma foncé dedans et pas le contraire. Donc si on suis la logique ce serais à toi de t'excusez et pas le contraire ! De plus je n'est que faire de tes excuses ! Alors pour évité plus de problème je crois que je vais continué sur ma lancé !

Il refit demi-tour pour pouvoir partir. Il se demandé vraiment pour qui se prenais cette fille à lui parlé comme cela, il n'avais jamais vue ça, d'habitude les filles le respecté un minimum lorsqu'elles lui parlé. Et on ne parle tous simplement pas comme cela à un garçon de bonne famille non ?

Miharu, toujours en fronçant les sourcils, remarqua que le garçon la dévisageait avec ses yeux rouges. D’abord le visage puis son corps et cela commença à la mettre mal à l’aise. Un frisson de peur lui parcouru le dos. Pourquoi un garçon ? Elle en a toujours eu une crainte. Elle se demanda alors quelle était la raison qui l’avait poussée à vouloir des excuses. Cela aurait été beaucoup plus simple de s’excuser et de partir. Il n’y aurait ainsi aucun problème, chacun partant de son côté… C’était ce qu’elle s’apprêter à faire lorsque l’étrange garçon à l’allure sombre répondit d’un ton glacial :
« Je te ferais dire gamine que c’est toi qui m’as foncé dedans et pas le contraire. Donc si on suit la logique ce serait à toi de t’excuser et pas le contraire ! De plus je n’ai que faire de tes excuses ! Alors pour éviter plus de problème je crois que je vais continuer sur ma
lancée ! »

A ces mots, la colère remonta. Comment pouvait-il la traiter de ‘gamine’ ? Pour elle c’était une insulte. C’est exact qu’elle ne mesurait que 1.62m. C’était vrai qu’elle se plaignait souvent à son frère mais n’était-ce pas pour ça qu’elle a appris à se défendre ? Qu’elle avait pratiqué des années de karaté sans relâche ?
Saitou le vit se retourner pour partir. A cet instant elle ne pouvait en supporter d’avantage :
«Qu..Quoi !! C’est vrai que je ne suis pas grande mais ce n’est pas une raison pour m’insulter !! Si tu as un problème dis-le clairement ! D’ailleurs je n’avais pas l’intention de te demander pardon !!»

Au fil de ses paroles, sa fureur était de plus en plus exprimée. Sa frange lui cachait ses yeux.
*Tant mieux, au moins je ne le verrais pas*
« Garde-les tes excuses !!! »

Lors de cette phrase, elle se rendit compte qu’elle avait sûrement l’air d’une hystérie. Tant pis, elle n’allait pas le laisser dire des choses sans se défendre.
*Non. Pas une fois de plus*

-Qu..Quoi !! C’est vrai que je ne suis pas grande mais ce n’est pas une raison pour m’insulter !! Si tu as un problème dis-le clairement ! D’ailleurs je n’avais pas l’intention de te demander pardon !!


C'est alors que Sosuke se retourna mais une chose le frappa lorsqu'il regarda la jeune femme c'était sa fureur lorsqu'il avait dit le mot "gamine". Il ne comprenais pas cette soudaine fureur, il n'avait pas eu l'intention de la blesser et ce n'était même pas à cause de sa petite taille qu'il avait dit sa. Pour lui la taille n'est rien comparé au coeur de la personne, après tout comment quelqu'un pouvais se permettre de jugé quelqu'un sur sa taille. Il entendit soudainement

-Garde-les tes excuses !!!


*Ces mots ! Encore ces mots ! Pourquoi ?*

-POURQUOI ? TOUJOURS C'EST MOTS !N'ai je pas suffisamment donnée ?

Sosuke venais d'hurler cette phrase des plus énigmatique, pourtant on pouvais sentir la tristesse transparaître par cette phrase. On dit souvent que les yeux d'une personne son les miroir de l'âme et bien pour celle de Sosuke elle n'est que tristesse et désolation.
Sosuke senti quelque chose coulé sur ses joues, il posa sa main sur son visage pour essuyer ses larmes. Il se demandait pourquoi les dieux s'acharnais sur lui, il lui retirais ses parents biologique puis ses parents de coeur ainsi que son frère et sa soeur de coeur.
Pourtant la phrase qu'avait dite cette jeune femme lui rappelais cette nuits du 13 octobre 2008, se jour la il c'était engueulé avec Ayumi et elle lui avait dit cette phrase, cette nuit la sa famille perdit la vie dans un accident de voiture. Et cela il ne pourrais jamais l'oublier.
Les larmes continuait à coulé sur le carlage froid du Hall d'entré

Après avoir lâché ces phrases remplies de violence, le garçon hurla à son tour :
« POURQUOI ? TOUJOURS CES MOTS ! N’ai-je pas suffisamment donné ? »

A cette phrase, Miharu fut surprise. Que voulait donc dire cette question qui lui semblait laisser exprimer la tristesse du garçon. Sa tête tournait. Malgré les fenêtres, le hall lui semblait de plus en plus obscur, tel englouti par les sentiments violents qu’ils exprimaient l’un et l’autre. Miharu commençait à être oppresser, pour une raison différente que lors de son arrivée mais pourtant ce n’était pas le moment de se relâcher. Après avoir fais part de ce qu’elle ressentait, elle se devait d’assumer. Elle baissa sa tête pour y réfléchir, elle souhaitait que cela soit un simple cauchemar, et vit par son plus grand étonnement des gouttes d’eau tombant sur le sol ! Elle releva alors la tête et constata que ces gouttes d’eau n’étaient autres que les larmes du garçon, ruisselantes sur ses joues. A cet instant le jeune homme lui parut plus humain et commença à culpabiliser. Jamais elle n’aurait eu l’idée qu’une réaction comme celle-ci se produirait et plus particulièrement venant d’une personne de sexe masculin. Ses mots avaient-ils une signification pour lui ? Ces mots qu’elle avait extériorisés n’étaient pas tous vrai, certains étaient émis sous le coup de la colère. Malgré l’aversion qu’elle ressentait pour tout homme hormis son frère, elle ne put s’empêcher de se gronder à elle-même.
*Idiote ! En montrant ta colère, tu as rendu triste une personne !!*
Mais son côté colérique lui chuchota, telle la tentation du Diable, que ce n’était qu’un simple garçon après tout, et de ce fait cela n’avait aucune importance.
Miharu rougit à cette propre pensée. Comment osait-elle penser çà ! Impossible !
*Non! je ne suis pas comme ça !!*
Elle se souvint alors aux paroles douces que sa mère lui répétait autant de fois pour qu’elle s’en rappelle et l’appliquer.
*Ne fais pas ce que tu ne voudrais pas que l’on te fasse*
Miharu cligna des paupières, continuant de regarder les pleurs de celui qui l’avait fait sortir de ses gongs, et sortit de sa poche un mouchoir en papier qu’elle lui tendit. Saitou, chuchota, gênée de faire part de sa compassion:
« Désolée » espèrant qu'il ne l'avait pas entendu.

Et s’empressa alors de rajouter en détournant ses yeux froncés et gris :
« Ne te méprends pas. Je n’aime pas les personnes qui pleurent »

-Désolée


Surpris Sosuke releva la tête, ses larmes coulait toujours mais en moins grande quantité. Il fut encore plus surpris lorsqu'elle lui tendit un mouchoir. Mais à se moment la elle dit tout en détournant le regard

-Ne te méprends pas. Je n’aime pas les personnes qui pleurent

un sourire mince, mais un sourire tous de même vint remplacer la froideur habituel du visage du jeune homme. C'était la première fois que quelqu'un lui donnais autre choses que de la pitié, lui le garçon "maudit", il finit par dire

-Merci. Et excuse moi de mon comportement d'il y a quelque seconde, c'est que... c'est un jour très spéciale pour moi aujourd'hui et j'ais tendance à m'énerver très facilement. Je te demande encor pardon.

Il s'inclina légèrement en demandent des excuse. Il se demandait pourquoi il avais toujours se comportement assez impulsif lorsque le jour de l'enterrement de se qu'il considérais comme sa famille. Certes il aimais être seul mais tout de même pas au point de devenir aussi grossier avec une personne. Ou peut être que c'était cette fille qui avais un étrange impacte sur lui ? Nan il ne pouvais tous de même pas être tombé amoureux, pourtant elle était plus que mignonne, elle était carrément magnifique, à cette pensé il rosi légèrement se qui se voyait bien sur son visage pâle.

(hrp: excuse-moi pour le retard )

Lorsqu’elle avait présenté son mouchoir, elle s’attendait à un refus ou à une réaction vive. Autant dire un comportement machisme. Mais au contraire, celui-ci la remercia en laissant apparaître un léger sourire:
« Merci. Et excuse moi de mon comportement d’il y a quelque seconde, c’est que… c’est un jour très spécial pour moi aujourd’hui et j’ai tendance à m’énerver très facilement. Je te demande encore pardon. »

Sur ces paroles, Miharu le regarda s’incliner. Elle avait comme l’impression que quelque chose lui échappait. Elle l’avait identifié comme étant une personne froide, refusant de présenter un quelconque pardon et maintenant le voilà qu’elle le voyait pleurer et s’excuser. Son visage laissait transparaitre la surprise. Comme paralysée par la réaction totalement inattendue de la part de son interlocuteur. Puis les mots qu’il avait annoncés précédemment lui revinrent.
Il avait évoqué qu'aujourd'hui c'était spécial et que c'était l'origine de son comportement. Quelque chose a dû se produire mais bon, Miharu ne cherchait pas à comprendre pour ce qui est sujet des hommes.
« Un jour spécial ? » questionna-t-elle, essayant de cacher sa curiosité par une simple réflexion.
*Si j’avais su je t’aurais rencontré plus tard*mais garda ces mots durs pour elle.
Plongée dans sa réflexion, en soutenant ses yeux gris sur le jeune homme, elle vit ressortir une couleur rosée sur sa peau claire.
« Un problème ? »
Son ton n’était ni brusque ni gentil. Il se voulait neutre. Elle se dirigea vers une petite fenêtre et l’ouvrit.
« C’est vrai que l’on étouffe ici »
Étrangement elle le trouvait déroutant. Pourtant elle ressentait une moins forte pression dans l’air qu’au départ. Serait-ce parce qu’elle avait entrouvert la fenêtre ? Ne sachant que faire, ni dire, Miharu prononça, baissant la tête, après une certaine hésitation:
« Euh… je ne sais pas quoi répondre. C’est-à-dire que je ne m’attendais pas à ce que tu réagisses… de cette façon. »

Remarquant qu’elle baissait sa garde devant lui, elle souhaita alors se reprendre en effet elle eu la soudaine pensée que ses excuses dites auparavant n’étaient que mensonge. Elle eut ainsi l’intention de se replier sur sa méfiance pour les hommes, toutefois elle repensa à ses pleurs et se résigna finalement à chercher la dispute. Elle continua sur un ton plus sûr :
« Je n’ai pas pour habitude de m’excuser auprès des garçons…
Elle rajouta diminuant sa voix, le regard pointé vers le sol
- Pourtant pardon de t’avoir fait pleurer je n’avais pas cette intention. »

Que lui arrivait-elle ? Serait-elle entrain de sympathiser ? Non elle refusait et rejetait cette idée. Pourtant… oui pourtant la tournure du départ changeait au fil des minutes qu’ils restaient debout.



(Hrp: pas de problème! je fais preuve de patience ^^)

La jeune femme était surprise et même tétanisait pas la réaction de Sosuke, qui aurait pus s'attendre au fait qu'un garçon d'apparence froide et distant aurais pus s'excuser en s'inclinant

-Un jour spécial ?

La question surpris Sosuke qui ne s'attendais pas à ce qu'elle sois si curieuse. Il se dit qu'il se devais de lui répondre, après tous il c'était énervé pour rien contre elle. Il se décida lui raconté donc les fais.

-Pour commencé je tien à me présenté. Je m'appel Sosuke, Sosuke Arima. Et pour ta question ma famille est morte il y a trois ans enfin aujourd'hui cela fais trois ans.

La tristesse se lisais à nouveau dans les yeux du jeune homme les mots qu'il venais de dire luis faisais mal très mal.

-Un problème ?

Surpris par la question Sosuke regarda bizarrement la jeune femme, de quoi voulait-elle parlais lorsqu'elle disait "un problème". Il ne comprenais plus rien la. Il se demandais si il n'avais pas rougis lorsqu'il avait pensé que la demoiselle était magnifique. Certes elle était belle mais ce n'était pas du tout son style de femme. Lui il préférait les femmes un peut moins ombrageuse.
Il finit par dire

-Non ne t'inquiètes pas tous va bien. J'ai juste un peu chaud.

Il sourit, pourtant son sourire sonnait faut comme si il voulais cacher toute la tristesse de Sosuke. La jeune femme fini par dire

-C’est vrai que l’on étouffe ici

Puis elle se leva pour allait ouvrir la fenêtre qui était fermé jusqu'a maintenant

-Euh… je ne sais pas quoi répondre. C’est-à-dire que je ne m’attendais pas à ce que tu réagisses… de cette façon.

-Oh !

c'était la seul réponse qu'il avait trouvé à fournir à la jeune femme. A l'heure actuelle il se trouvait vraiment très bête, il ne pus réprimer l'envie de frotter l'arrière de sa tête. Il ne savais vraiment plus quoi dire. Il remarqua néanmoins qu'elle baissait sa garde de plus en plus face à lui, comme si il n'était plus dangereux, ce qui est bien sur le cas.
Elle continua en disant

-Je n’ai pas pour habitude de m’excuser auprès des garçons…

Puis d'une vois plus faible toute en regardant le sol elle rajouta

- Pourtant pardon de t’avoir fait pleurer je n’avais pas cette intention.

-Euh... ce n'est pas grave... comment dire... ma soeur m'avais dit la même chose le jour ou elle est décédé.