Les centre commercial, lieu d’attroupement des jeunes étudiants généralement de sexe féminin. Pas seulement des étudiants. On a de toutes les sortes ; petit, maigres, gros, grand, jaune, vert, etc. Parmi ces espèces de la société dit «　normaux　» se trouve un petit être d’un mètre soixante sortant de la conformité.
D’un pas joyeux et déterminé à trouver quelque chose à faire, Jun, le sourire au rendez-vous comme toujours, regardait de gauche à droite. Découvrant le centre commercial dont il n’y avait jamais mit les pieds. Un peu de déception se lisait dans ses yeux mais rien de bien grave. C’était peut-être trop petit pour ce prince qui cherchait de grandes choses. M’enfin voila. Au moins les personnes présentes se retournaient sur lui, il se faisait remarquer. Et ça, il aimait. Du genre narcissique on ne fait pas mieux.
Habillé d’une salopette noir lui arrivant juste en haut des genoux, les bretelles blanches à carreau noir assortit à son t-shirt tout simple ou l’on peu à peine voir l’inscription que pratiquement tout les jeunes ont : «　Punk is not dead　», caché sous une grosse veste en coton ligné noir et blanche qui est également assorti avec ses longues chaussettes de même motifs.
Son sac en forme d’étrange monstre tout noir aux yeux jaunes était aussi en harmonie avec tout le reste. Voila pourquoi les personnes se tournèrent sur son chemin. S’il était encore en dans son blède, il ne se sentirait pas aussi unique.

Bref venant au fait. N’ayant rien d’autre à faire à part glander (cela dit il fait ça vingt-quatre heures sur vingt-quatre, sept jours sur sept), Jun se traîna avec ses plates forme jusqu’au magasin le plus proche. Des rayons, des rayons… Jun les passa sans y prêter attention, pas assez tape à l’œil pour lui sûrement. Mais LÀ ! Le jeune androgyne se précipita vers un endroit très… rose ?

« Aah ?... »

Malheureusement, ce n’était pas du tout ce que le petit Tanaka croyait. Il n’avait aucune idée a quoi servais ces petite boite… de plus il ne pouvais pas vraiment lire, le japonais et lui ça fait trente-six mille… D’un pas, il recule un peu déçu. C’est à ce moment qu’il sentit un truc mou ?… Vivement il tourna la tête un peu surpris : eh voila… il avait encore bousculer une personne… un pauvre homme (avec un bon style) qui traînait dans ce rayon… Un rayon de tampon et serviette hygiénique apparemment… mais qu’est-ce qu’il foutait là ?

«Uuuh… ? Pardon..»