![Shinwa Sawajeri || Azy, t'cherches la merde ? Viens, j'vais t'démonter ! || [Finie ♥] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) |  Sujet: Shinwa Sawajeri || Azy, t'cherches la merde ? Viens, j'vais t'démonter ! || [Finie ♥] ![Shinwa Sawajeri || Azy, t'cherches la merde ? Viens, j'vais t'démonter ! || [Finie ♥] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Ven 11 Mar - 17:07 | |
| |~| Fiche de présentation |~| ## Informations du personnage##
- Nom : Sawajeri
- Prénom : Shinwa
- Surnoms : Shin'
- Sexe : ... Wtf ? Mes deux seins sont pas assez gros pour que tu te trompes ? Bâtard.
- Orientation sexuelle : Hétéro et accessoirement Miki-phile.
- Age/Date de naissance : 17 ans. 15 juin 1993
- Origines : Japonaises.
- Niveau d’étude : 2eme année
## Physique##
- Description physique :
Pauvre gars. Toi qui te baladais tranquillement dans Konoha, tu n'aurais jamais imaginé ce qui allait te tomber dessus. Pété de thune que tu es, fringué comme un riche, tu l'as vue. La gamine, là. Elle a quoi ? 17 piges ? Elle t'a sourit. Tu t'es laissé attendrir. Ses cheveux bruns pas tellement coiffés dont l'extrémité des mèches rebiquait, une frange épaisse qui cachait une partie de son visage. De grands yeux noirs avec une petite lueur malicieuse qui brillait. Tu t'étais dit, elle est mignonne, son visage si mignon et si angélique ne peut pas être le visage d'une de ces yankee qui trainent prêtes à casser la figure au premier qui passe.
T'es un peu con en fait.
Tu l'as regardée de haut en bas. Baskets. Pantacourt en jean. Débardeur noir large et lâche, et veste style veste de baseball, aux manches retroussées. Elle a les yeux maquillés et les mains dans les poches. Un vrai garçon manqué, mais avec un charme tout à fait féminin. Elle s'approche de toi et lève les yeux pour les plonger dans les tiens. Elle mesure quoi ? 1m55, 1m60 ? Bien que largement plus petite que toi, elle en impose, bien que tu la dépasses d'au moins deux têtes, ses yeux t'ordonnent de reculer. Et tu flippes. Elle ne sourit plus. Son visage est dur et effrayant. D'autres filles sortent de la rue subjacente. Des nanas avec des battes et vêtues comme des gals. Là. Tu flippes vraiment. Tu reportes ton attention sur la gamine devant toi. Elle fait craquer ses doigts. Des ongles manucurés, de longs doigts sur de petites mains couvertes par des mitaines de cuir assez fines. Elle te sourit une dernière fois et BAM. Une droite. Plié en deux, tu lâches les sacs pleins de choses que tu venais d'acheter. Plié en deux, tu souffres. A présent, elle te domine.
Elle ôte sa veste, laissant voir des bras musclés. Tu devines par ailleurs qu'il n'y a pas que ses bras qui sont musclés. Elle doit avoir de ces abdominaux... Elle t'attrape par les cheveux et te tire la tête en arrière frappant à nouveau ton ventre, de son genou cette fois. Tu l'as sentie passer. Elle a de la force. Assez pour mettre un homme aussi résistant que toi. Tu ne l'avais pas vue venir, non plus.
Et BIM, un revers dans la mâchoire. T'es presque assommé, mec. Pourtant, tes yeux ont fixé quelque chose. Bin ouais. Pedobear que tu es, t'as pas loupé ça. Sa poitrine. Malgré son T-shirt lâche, tu en devines les courbes. Pas énormes, mais d'un volume plutôt appétissant. Tes yeux t'ont trahis. Elle t'a foutu au sol.
Pauvre con, tu t'es laissé berné, elle te massacre et ses copines la regardent en se foutant de toi. Et tu appelles ta mère, tu pleures, en sang. Hey, mec, t'as 30 ans, quoi ! Tafiole.
## Psychologie##
- Caractère :
Une bombe. Ouais. Une bombe. Le genre de personne que tu titilles un peu trop. BAM. Elle explose. Colérique, impatiente. Elle est carrément du genre à cogner avant de réfléchir.Et cogner, ça, elle adore. Y en a leur passe-temps, c'est le shopping ou geeker. Bin, elle, c'est cogner. Si elle casse pas la gueule à quelqu'un, ça va pas et elle devient insupportable. Elle est violente et d'un sadisme refoulé. Elle commence à frapper qu'elle ne peut plus s'arrêter. Seule une personne peut la stopper dans ses élans sanguinaires. Cette personne c'est Miki. Sa meilleure amie. Elle est la seule personne qu'elle respecte et devant qui elle se taira et se calmera. Miki a le pouvoir de calmer la furie de Shinwa. Et le respect que Shin' a envers son amie, en plus de toute l'amitié qu'elle lui porte, fait que Shin' à la volonté de la protéger coûte que coûte. Pas un mec ne pourra approcher Miki si Shinwa est dans les parages, pas une nana ne pourra tenter de se rebeller contre ces filles. BAM. Dans leur gueule. Une droite. Un revers. Une gauche. Un genou dans les côtes. Et c'est fini.
Elle a de ces manières qui font reculer les plus grands, de plus sa façon de se tenir et de regarder les gens démontre à quel point elle se sent supérieure à eux et à quel point elle les dénigre. Elle est hautaine, insupportable, désagréable et surtout... surtout... elle est de ceux qui se croient nettement supérieurs aux autres. De ceux qui connaissent leur force et dénigre leur faiblesse, avec un orgueil bien gonflé et un égocentrisme déplacé.
Elle est décadente. Elle frôle ses limites sans jamais les dépasser. Elle fume et elle boit. Mais seulement avec Miki. Parce qu'avec Miki, c'pas comme avec n'importe qui d'autre. Avec Miki, elle se sent encore plus forte. Avec Miki, elle sait que rien ne leur arrivera. Tout le monde les craint... Même les professeurs. Elles sèchent les cours pour aller fumer sur les toits, ou boire, un petit oinj et c'est repartit.
Ce que Shin' préfère cependant, c'est tout de même la persécution. Elle aime voir la peur dans les yeux des gens. User de la violence pour se faire respecter. Ijime. Dans sa tête ce mot résonne. Non pas en tant que victime. Mais en tant que coupable. Et ça, ça la motive. Ça lui fait gonfler son orgueil et sa volonté d'aller toujours plus loin. Qu'est-ce qu'elle pourrait bien inventer la prochaine fois ? Gratter du bambou à la racine des dents afin que cela saigne à grand flux ? ♥
Oh et puis, eh. Shin', c'pas qu'une sale Yankee droguée à l'adrénaline de la violence. Elle a des qualités, si si ! Putain, bâtard, t'y crois pas en plus ! x'D Connard, va. Elle est intelligente. Si, putain, puisque je te le dis ! Elle est intelligente, elle a totalement conscience de ce qu'elle fait. Juste c't'une salope x'D Mais, eh, il lui arrive d'être calme et féminine ! Si ! Elle peut avoir un charme timide et effacé. Mais AH Putain ! Tu le verras jamais ce côté là d'elle ! Faudrait qu'elle soit terriblement amoureuse pour ça. Et oh mon dieu, c'pas le genre de choses sur lesquelles elle s'attarde.
Que je te dise qu'elle est sensible. Ça non plus, tu le crois pas. Elle pleure pas, certes, mais ça n'empêche pas qu'elle puisse être secouée psychologiquement. Tss. Jor, elle peut se perdre dans ses pensées, une mélancholia gris-noire, un petit manque de confiance en elle. Puis POP, elle repart au quart de tour, le côté connasse violente qui reprend le dessus.
Elle rougit facilement aussi. Peu habituée à entendre des compliments de la part de la gente masculine, ses joues se colorent facilement de rouge. Bien qu'elle ne se laisse pas distraire, la coloration de ses joues peut trahir un quelconque malaise...
Ce n'est pas une machine non plus, Shinwa ~
Elle a un bon fond Shin', mais faut gratter à t'en péter les faux ongles. C'comme une yamamba sous son maquillage. On sait pas du tout à quoi ça ressemble, ça à l'air moche à l'extérieur, mais en fait, non. L'être de base, ouais, l'être nu, naturel, est plutôt joli et surtout, on ne s'attend pas du tout à ce que l'on voit.
- Tics, manies, etc... :
Elle a la fâcheuse tendance à mâcher du chewing-gum. En cours, en dehors des cours. Car en plus de donner un certain style décadent, le chewing-gum a une destination qu'elle adore, c'est bien entendu les cheveux de ses victimes ♥
Des manies, elle en a d'autres. Bouffer. Ou piquer de la bouffe chez les autres. Sans gêne, elle peut très bien s'incruster chez quelqu'un, ouvrir le frigo, se servir et dévorer ce qui lui tombe sous la main. Ou boire. Au choix.
## Biographie##
- Histoire :
Depuis que je suis toute petite, du moins, jusque là où remontent mes souvenirs, j'ai été une princesse chérie par ses parents. Une princesse oui, mais.
Gamine déjà j'étais une garce. Les professeurs de l'école me craignaient. D'une part parce que mon père pouvait ordonner de les tuer quand ça lui chantait, d'autre part parce que j'avais développer une certaine violence à l'égard de mes camarades et de certains professeurs qui n'osaient rien dire. J'avais commencé par du chantage, un peu de racket et quand on ne me ramenait pas ce que je désirai, je tapais. Au début, j'avais pas tellement de force, mais on me craignait tout de même, vu que je m'attaquais non pas aux filles, mais aux mecs de mon école.
Puis, en grandissant, mes actions sont montées en puissance. Je me servais de la salle de muscu' de mon père afin de ne pas sembler être une mauviette face à mes victimes. J'avais de ces bras musclés... Au collège, j'ai cassé la gueule à un mec qui a voulu me peloter.
Cet enfoiré était amoureux de moi, mais il a jamais eu le courage de le dire et comme vous le savez sans doute. Un mec c'est con, surtout à cet âge-là. Il faisait tout pour me mettre hors de moi. M'insultait, me narguait, me lançait des vannes nazes. Un crétin lourd. Le jour où il a essayé de me choper dans une rue, je lui ai collé mon genou dans les couilles. Plié en deux je l'ai massacré à coups de poings et de pieds. En sang qu'il était. Moi, j'avais bien kiffé.
Ce mec-là, il m'a tout de même attiré des ennuis. Des lycéens m'attendaient à la sortie du collège. J'avais pété la gueule au frère du chef de leur « gang ». J'étais dans la merde. Et j'étais seule. Bin ouais, vu que tout le monde me craignait, personne n'osait m'approcher.
Ils étaient cinq. Cinq mecs baraqués, l'un d'eux avait une batte de baseball et un autre un couteau. Pourtant, je leur ai fait face. Je les ai regardés, un air las et provocateur. Ils ont commencé à s'approcher et je leur ai lancé un « Cinq contre un nana ? Vous avez donc si peur de moi ? » ironique.
Il se sont élancés. J'me suis fait lyncher. Ils m'ont pas finie devant le collège, non, il m'ont tabassée dans une rue, me laissant agonisante et baignant dans mon sang.
Mon père était fou de rage. J'crois bien que ces mecs sont morts, ou bien pas seulement eux, mais toute leur famille. Mon père ne supporte pas qu'on fasse du mal à sa fille. Bien qu'elle l'ait cherché. Il a du employer les grands moyens et faire taire ça dans les journaux. Pourquoi j'dis qu'ils ont du mourir ? Le frère a subitement disparu du collège. Personne n'en parlait, ou bien sous cape et on me pointait du doigt. Ma réputation était faite. Bien que j'ai eu du mal à me remettre de ma première raclée, on me craignait encore plus.
Moi, j'trouvais ça jouissif. Voir la peur dans les yeux des gens, c'est bandant.
Dans mon collège, il y avait tout de même une bande. Des gals. Leur leader se prénommait Miki. A 13 ans, je m'étais présentée à elles, car on me craignait, certes, mais pas autant qu'elles. Une Yankee qui oeuvre seule, n'est pas une vraie Yankee. J'utilisais la force brute doublée d'un sadisme aveuglant. Elles m'avaient acceptée qu'à une condition : que je leur prouve que je méritais d'entrer dans leur gang. Ma violence et mon sadisme devraient être mis à l'épreuve.
J'devais mettre à bout une gamine. Genre cette fille du nom de Sakura. Grogniasse. Pétasse et pleurnicharde. Elle me sortait par les yeux. Elle chialait à chaque fois que je m'approchais et criait comme une gosse quand on faisait une connerie. Je m'amusais alors à lui renverser son déjeuner ou bien à badigeonner sa chaise de colle. J'avais même réussi à faire des graffitis sur son uniforme et son bureau et à péter son casier. Elle a fait une dépression je crois. Mais ses parents refusaient qu'elle quittent l'établissement. Un jour, on l'a bloquée dans les toilettes des filles. On la enfermée et je lui ai lancé de l'eau, du papier toilette, de la farine et l'eau sale qu'avait utilisé les femmes de ménage. Quand on avait ouvert, je l'ai accueillie avec un grand sourire, Miki et sa bande m'entouraient, observant mes faits et gestes.. Je lui ai plongé la tête dans les chiottes, lui aspergeant les cheveux de mousse à raser et de produits d'entretien, puis je lui ai découpé ses vêtements. Je fis mine de la laisser partir et je la saisis par les cheveux, la tirant en arrière. Elle chuta et j'accompagnai sa chute d'un violent revers du pied. Des os avaient craqués et elle avait hurlé. Pour qu'elle ferme sa gueule, je lui ai bourré la bouche de papier toilette. Et je l'ai tabassée. Coups de pied dans le ventre, tête qui embrasse le mur. Elle agonisait et je souriais. J'oubliais Miki et les autres filles qui me regardaient et je sortis un couteau. Là, les filles réagirent et me posèrent la main sur l'épaule.
Je lançai un regard noir à celle qui m'avait touchée. Miki. Elle me gifla et je chutai. Mon couteau avait glissé.
« Maintenant, c'est bon. T'es acceptée. Mais ne t'avises pas de me regarder ainsi. Plus jamais. »
Elle. Cette nana. Cette blonde. OMG, c'est la seule qui ait réussi à obtenir mon respect. J'étais devenu en quelque sorte son chien de garde. La protégeant et tabassant ceux qui l'emmerdaient. Cette nana, elle était devenue plus qu'une simple amie. Ma meilleure amie. On séchait les cours ensembles, on fumait. On pétait des vitres avec des pierres auxquelles on attachait des photos humiliantes des gens du collège, élèves comme professeurs. On fréquentait des bars et des mecs beaucoup plus âgés. Tokyo Décadence. Ça résumait bien mon train de vie. On baise, on marave. On s'fait lyncher. On se venge. On tabasse à mort. J'crois y en a qui ont perdu la vie. Mais à l'hôpital. Pas directement sous mes coups.
Miki l'est partie. Elle a rejoint sa cousine à Konoha, choquée par le lynchage de Minami, elle m'a dit avoir voulu éviter la violence pendant un certain temps. J'étais déçue, mais je la rejoindrai un jour ou l'autre... J'ai passé un an sans elle. Dans un lycée merdique à Tokyo. J'avais perdu le goût de tabasser. C'était grave. Moi, sans frapper. Non, ouais. J'avais plutôt développé une frénésie. Quand j'allais pas bien, j'maravais le premier mec qui passait. Mais là, non, ouais. Miki me manquait. J'ai exigé auprès de mon père qu'il m'envoie à Konoha pour ma deuxième année.
Je voulais faire la surprise à Miki.
J'ai hâte ♥.
- Famille :
Kiyoe Sakushima. 30 ans. 24 Avril 1981.
Ma mère. Une femme discrète, gentille, mais très, très effacée.
Sa douceur et sa gentillesse est mon total contraire. Elle est très réfléchie et très posée. Jamais elle ne hausse le ton. Elle me chouchoute sans arrêt, faisant de moi sa petite princesse.
Sa santé est fragile, alors je ne la vois que très rarement, car elle doit souvent se reposer. Elle ne sait pas ce que je fais en dehors de la maison, ou alors, elle le sait, mais ne me dit rien.
Je l'adore... Mais, ça ne m'empêche pas de lui mentir. Je veux lui épargner la souffrance que lui causerait la nouvelle de mes exactions.
Il paraît que physiquement, je lui ressemble beaucoup, mais que j'ai pris la masculinité de mon père, certains disent même que c'est dommage que je ne sois pas aussi féminine et fragile que ma mère, je n'en aurais que beaucoup plus de charme.
Ta gueule. Rien à foutre du charme. J'ai ses yeux. Ces yeux envoûtants qui charment et piègent. Je m'en sers non pas pour draguer, mais pour faire tomber un pauvre niais dans mon piège et ainsi pouvoir mieux le tabasser et le dépouiller.
Nobu Sawajeri. 35 ans. 05 Février 1976
Mon père. Mon terrible père. Yakuza. Et pas d'un faible rang. Non, il est haut placé. Pété de thune. Et il a du pouvoir. Genre, il contrôle dans l'ombre quelques grands de Konoha. Le fric, la peur et le pouvoir. Il use de tous ces moyens pour garantir une vie parfaite à ses deux femmes adorées. Ma mère et moi.
Il paye les plus grands hôpitaux, les plus grands médecins pour ma mère. Pour moi, il serait prêt à m'offrir la tour Eiffel.
Car malgré ses airs durs et impitoyables, il a un grand cœur. La famille, c'est sacré. Il est un amoureux transi de sa femme et il m'adore comme on adore une princesse. Il ferait tout pour nous protéger. Aussi bien payer les plus grandes amendes de la Terre que soudoyer la police pour que mes conneries n'aient aucune répercussion sur notre vie.
Grâce à lui, je n'ai jamais eu de problèmes avec la Police, ni même avec les Yakuza. Il m'a juste prévenue de ne pas trop taper dans les mafieux, on sait jamais....
Étant leur fille unique, ils m'adorent et me chouchoutent, autant ma mère que mon père. Malgré mon tempérament et mes actions, ils ne perdent pas l'amour qu'ils me portent... Bon, j'avoue, j'en profite un peu beaucoup. Mais à quoi bon se retenir ? Profitons de notre jeunesse !
|~| In real life |~|
- Prénom : Yuuki ~
- Age : 16
- Serez vous actif ? : 2/10 \o/
- Par qui ou comment avez vous connu le forum ? : Piouh, d'puis le temps °°
- Avez vous lu le règlement ? : Code bon. Shika.
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![Konoha Gakuen [Next Gen] 2.1](https://i.servimg.com/u/f58/13/96/80/73/75240_10.jpg)
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