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 Nostalgie, quand tu nous tiens... [PV Akito]

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MessageSujet: Nostalgie, quand tu nous tiens... [PV Akito]   Nostalgie, quand tu nous tiens... [PV Akito] Icon_minitimeLun 26 Avr - 17:55

Le soleil était assez haut dans le ciel quand la jeune Ishikawa se réveilla. La jeune fille avait séché ses cours de la matinée et elle ne comptait pas y aller avant le surlendemain.
Mariko se retourna dans son lit puis regarda le plafond, elle avait une jambe hors du lit et ses bras sur la couverture. Son regard était endormi et vide, elle n'avait pas la bonne humeur ce matin-là. Elle finit par retirer son drap de sur elle puis s'assit, elle se frotta les yeux et alla se préparer.
La jeune fille regarda attentivement la chambre puis ses gourmettes, elle passa ses doigts sur celles-ci. Elle en regarda une plus attentivement, celle où il y avait écrit « Kazuo ».
Elle ferma les yeux puis les rouvrit, elle prit son skate, son portable et les clefs de la chambre puis elle fila à l'extérieur.
Il faisait beau, chaud avec un petit vent juste de quoi rafraîchir légèrement. En temps normal, Mariko aurait bien sourit rien qu'à la sensation de chaud froid, mais pas aujourd'hui. Non, aujourd'hui n'était pas un jour où elle devait sourire. C'était plutôt un jour assez triste, funèbre. Cela faisait maintenant cinq ans que son frère aîné s'était pendu, cela faisait cinq ans jour pour jour qu'elle allait au cimetière régulièrement pour se recueillir et lui « parler ». Elle ne s'était pas remise de ce drame et elle ne s'en remettrait sûrement jamais.
Elle lâcha sa planche sur le sol, puis commença à rouler vers le cimetière, elle avait tellement la tête ailleurs qu'elle avait manqué de se faire écraser deux ou trois fois, mais elle s'en fichait un peu.
Arrivée, là-bas, elle prit son skate à la main puis se stoppa à l'entrée du cimetière. Celui-ci semblait beaucoup plus gaie que tout ce qui l'entourait. Ce cimetière avant un sol de gravier blanc, des stèles grises, d'autres en forme de croix, des fleurs fraîches, d'autre fanées. Quelques arbres résidaient dans celui-ci.
Mariko fit un pas à l'intérieur puis marcha machinalement vers une tombe qui était à peu près vers le fond du cimetière. Le lieu était calme, des oiseaux chantaient, les feuilles des arbres s'entrechoquaient quand le vent soufflait doucement. La jeune fille arriva où elle voulait, elle regarda le nom qui était incrusté dans le marbre: « Ishikawa Kazuo ». Elle posa son skate entre cette tombe et l'autre puis nettoya celle de son frère, elle n'avait pas amené de fleur mais à quoi bon? D'ici trois jours, elles auraient fanées... Par contre, elle sortit un cadre d'une de ses poches de son multi-poche puis le posa en dessous des inscriptions. Sur la photo, on pouvait voir un jeune homme au cheveux noir assez long pour lui recouvrir les oreilles, ce noir faisait ressortir étrangement le vert des yeux du garçon, celui-ci semblait joyeux, il tirait la langue sur l'image, il tenait une petite fille pas bien grande à la même couleur de cheveux qui tentait de le décoiffer, cette enfant avait quelques bandage sur les bras et au cou. Cette petite fille était Mariko, à l'époque, elle avait 8 ans et venait de sortir de l'hôpital après s'être fait maltraitée par son père.
En regardant cette photo, Mariko eut un sourire nostalgique, elle repensait à cette journée qui avait été très courte mais très amusante. Elle sortait à peine de l'hôpital que son frère l'avait déjà faite tourné en bourrique en lui parlant d'éléphant et de crocodile.
La jeune fille finit par s'asseoir sur la tombe, elle caressa légèrement la photo puis sentit quelques larmes couler qui s'écrasèrent contre la vitre du cadre.
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MessageSujet: Re: Nostalgie, quand tu nous tiens... [PV Akito]   Nostalgie, quand tu nous tiens... [PV Akito] Icon_minitimeMer 30 Juin - 7:50


Un râlement ce fut entendre, suivi un bruit de couverture qui se déplace et d’une expiration avec une teinte d’agacement. Ahala, ce n’est jamais facile de quitter son lit, je suis sûre que vous êtes du même avis que moi. Lorsqu’on est sous la couette et que l’on est bien au chaud, la dernière chose que l’on veut, c’est quitter cette endroit rien qu’a nous non ? Eh bien, le jeune homme à la chevelure d’orge était prit avec ce problème. Trop paresseux pour se lever et trop crever parce que la veille, il était sortit prendre un verre. Bon, peut-être plus qu’un verre parce qu’il s’était un peu beaucoup planté en montant les escaliers jusqu'au dortoir, mais bon, s’est un détail. Glissant une main sur son visage, le jeune homme étendu dans le lit remonta ensuite sa main pour aller la planquer sur son front. Fonçant les sourcils, il jura entre les dents parce qu’un énorme mal de tête était entrain de lui tuer de cerveau. À gueule de bois quand tu nous tien. Tirant son oreillers, il laissa sa tête tomber contre le matelas et foutu l’oreiller sur sa tête en jurant de nouveau. Décidément, il n’aurait pas du boire autant se disait-il avant de, par un geste presque d’inimaginable, il se redressa, s’appuyant sur ses mains. Tirant la couverte sur le côté, il mit ses pieds sur le bord du lit et une main de son œil gauche pour le frotter un peu avant d’ouvrir les yeux qu’il referma aussi tôt. Il faisait clair, très clair même. Ce n’était surement pas le matin … Tournant la tête vers la table de chevet, il rouvrit les yeux pour regarder les chiffres lumineux de son cadran. C’était presque le midi. Et tien, il avait manqué les cours du matin. Ah quoi bon y aller pour le reste de la journée ce dit-il. Avec le mal de tête qu’il avait, c’était surement le dernier endroit où il voudrait aller. Les autres allaient finirent par lui tomber sur les nerfs et il partirait alors à quoi bon y aller. Baillant puisqu’il manquait de sommeil car il était revenu à 5h du matin et avait dormit le même temps, il hésita entre se recoucher et aller s’enmerder ailleurs et, encore surprenant, il décida d’aller ailleurs. Il quitta son lit, se gratta un peu le dos, il s’étira en levant les bras dans toutes les directions avant de filer sous la douche. Quelque minute plus tard, il sortie de la douche avec une simple serviette lui entourant la taille et alla vers la commode d’où il prit une camisole bleu foncé avec des signes japonais bleu/gris et mit une chemise à manche mauve avec un jean noir. Il ajouta des bretelles tombantes sur ses fesses de la même couleur que signe japonais et n’oublie pas son ami de tous les jours, ses gros écouteurs noirs qu’il installa à cheval sur son cou. Tourna les talons, il mit ses converse jaune et s’apprêta à quitter sa chambre jusqu’au moment où une sonnerie ce fit entendre. Tournant la tête à la rechercher de la provenance du son, qui d’ailleurs était son portable, il le localisa sur la table de chevet à côté de son lit et alla répondre.

« Hhn, oui bonjour ? » Demanda t-il

« Ah Akito ! Tu réponds enfin. Tu dormais ou quoi ? » Demanda la voix dans la téléphone. D’ailleurs, c’était son père.

« Euu…non non, je dormais pas. Je n’ai juste pas entendu la sonnerie » Lui répondu Akito pour éviter une longue discutions du pourquoi il ne faut pas manquer de cours.

« Ok. Je t’appelle juste pour te rappeler que je vais venir te chercher ce soir. Y va y avoir un fête de famille et on va rester que tout les trois »

« Mais de quoi tu parle ? Pourquoi si soudainement ?Demanda Akito qui ne compris pas du tout pourquoi il allait devoir aller chez son père.

« C’est aujourd’hui son anniversaire…….. » Lui répondit son père d’une voix fuyante.

Dans les minutes qui suivirent, un grand silence s’installa. Plus personne ne dit rien, comme s’il avait peur de parler. Seul le bruit de leurs respirations prouvait qu’il était encore là et, commençant à être agacé par ce silence, Akito reprit la parole.

« D’accord, je vais être au rendez-vous. Tu viens me chercher à quelle heure ? »

« 17h »

« D’accord….au revoir »

« Bye »

Et il raccrocha. Un nouveau silence s’installa dans la pièce alors qu’il regardait la date. Son père avait raison. Cela faisait maintenant 13 ans qu’il avait retrouvé sa mère mort par terre sur le planché de la cuisine. Lui qui n’avait que 6 ans à cette époque, il s’en rappelait très bien … Secouant la tête pour ne pas voir d’image qui revenir en tête, il glissa son portable dans l’une des poches arrières de son jean, il sorti finalement de sa chambre.

Après quelque minute, il était maintenant à une bonne distance du lycée. Mains dans les poches, il marcha calmement entre les rues de la ville, ses écouteurs sur ses oreilles, il n’avait aucune attention sur ce qui l’entourait et tout ce qui lui importait, c’était sa destination et les parole de Apologize qui lui martyrisait l’esprit, laissant refaire surface des blessures oublié. Des souvenirs funestes… Après quelques minutes, il arriva devant un portail en fer noir. S’arrêtant, il regarda à travers le grillage et observa, détaillant les pierres tombales qui se suivait les unes après les autres. Poussant la porte, il entra dans le cimetière et fit retombé les écouteurs de sur ses oreilles, ayant un certain respect pour les personnes décédés. Le bruit au cimetière était pour lui une marque horrible de non respect de la personne et il ne se gênait pas de faire la remarque au personne bruyante, lorsqu’il y en avait, ce qui n’était pas le cas aujourd’hui. La seule personne qui vit dans le cimetière, et bin, c’était lui. Enfin, pour l’instant, je crois. Marchant vers le fond du cimetière, il trouva très rapidement la tombe de sa mère, mais distingua autre chose. Une silhouette. Aux rondeurs, il devina tout de suite que c’était une fille, mais ce qui le surprit le plus, c’était quelle était juste à côté de la tombe de sa mère, devant une autre tombe par contre. Avançant vers la tombe, il s’arrêta devant la tombe de sa mère avant de regarder la jeune fille.

« Hhm … salut »
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MessageSujet: Re: Nostalgie, quand tu nous tiens... [PV Akito]   Nostalgie, quand tu nous tiens... [PV Akito] Icon_minitimeSam 17 Juil - 13:26

Une brise fraîche passait dans les cheveux brun de la jeune fille qui était à genoux devant la tombe. Mariko avait toujours les larmes qui coulaient lentement pour s'écraser contre la vitre qui protégeait la photo qui était sous celle-ci. Elle continuait à caresser doucement la photo d'un air perdu, les souvenirs s'enchainaient les uns après les autres, bon comme mauvais. Elle eut soudain des images de l'enterrement en tête, son père n'était pas présent pour la simple et bonne raison qu'il ne devait plus s'approchait de la famille. Sa mère avait un visage fermé comme rarement, une robe noire et elle tenait fermement la main de Mariko comme pour éviter qu'elle ne s'envole elle-aussi. Devant les deux filles, dans un cercueil, était exposé le corps de Kazuo. La petite avait à ce moment-là posé sur le corps de son frère, l'une de ses peluches préférées, une petite baleine bleue.
Mariko secoua la tête vivement pour enlever cette image puis éclata vraiment en sanglot, elle ne s'en remettrait vraiment pas. Elle serra le cadre contre sa poitrine en répétant à voix basse: « Pourquoi? ».
Elle n'avait même pas remarqué que la brise s'était arrêtée et que quelqu'un marchait pourtant bruyamment dans les graviers qui n'aimaient pas se faire écraser à un tel point qu'ils se mettaient à crisser dans un ultime «  au secours ».

« Hhm... salut »


La jeune fille sursauta puis posa doucement le cadre sur la tombe avant de s'essuyer rapidement les yeux et de regarder l'inconnu qui venait de parler, malgré ses yeux rougis et les larmes qui coulaient encore, elle fit l'effort de sourire. Enfin sourire... C'est vite dit, quand on est triste et qu'on tente de sourire malgré tout, on en ressort un sourire triste, sans forme mais cela prouve un certain effort pour prouver qu'on ne veut inquiéter personne, ce que faisait en ce moment présent la jeune Ishikawa.

« Bonjour »


Sa voix tremblotait pourtant elle tentait de la contrôler mais ce n'était pas assez. Mariko regarda le garçon attentivement puis eu l'impression que c'était un panda roux même si les cheveux de celui-ci étaient blonds. Drôle d'impression, elle ne savait même pas pourquoi elle pensait comme ça, sûrement le fait qu'elle ait la tête ailleurs. Elle regarda la tombe sur laquelle le garçon était arrêté puis regarda un peu le nom et la date, avant de jeter un dernier regard à celle de son frère.

«Tu... Tu veux que je partes pour que tu te recueilles? »


Elle avait eu l'intention de rester toute la journée au cimetière « profiter » de la présence de son frère et de sa pauvre peluche enterrés là depuis cinq années. La peluche devait fermement s'ennuyer surtout avec un mort. Si ça se trouve la peluche était devenu cannibale et avait mangé le frère de Mariko sans aucune honte! Rien qu'à cette pensée la jeune fille se sentit mal comme si elle tombait dans un gouffre sans fond, elle était devenue pâle, enfin plus pâle qu'elle ne l'était à la base.
Elle inspira un grand coup puis remarqua qu'elle était assez petite par rapport au jeune homme, ce n'était pas bien dur que quelqu'un la dépasse facilement, fallait bien l'avouer. Mariko était petite même si elle le niait fréquemment.
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MessageSujet: Re: Nostalgie, quand tu nous tiens... [PV Akito]   Nostalgie, quand tu nous tiens... [PV Akito] Icon_minitime

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