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Bienvenue à Konoha High School !
Depuis les événements dramatiques de 2011, beaucoup de choses ont changées... Une étrange bactérie du fond des océans vint semer la zizanie et les humains ne sont plus vraiment pareils... La ville de konoha, 25 ans plus tard, sous le signe du chaos et d'un régime totalitaire, venez vivre l'aventure !
Oserez-vous vivre dans un monde où la normalité n'existe plus ?
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 Great Britain comes in Japan...

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MessageSujet: Great Britain comes in Japan...   Great Britain comes in Japan... Icon_minitimeVen 11 Fév - 22:03

|~| Fiche de présentation |~|



##Informations du personnage##


  • Nom : Williams
  • Prénom : Samantha
  • Surnoms : Sam, Samy
  • Sexe : Féminin
  • Orientation sexuelle : Hétéro
  • Age/Date de naissance : 21 ans / 26 Juillet 1990
  • Origines : Britannique
  • Niveau d’étude : 4e cycle


##Physique##


  • Description physique : Je suis européenne, tout le prouve chez moi. Du haut de mon mètre 65, je suis de taille moyenne, d'une minceur que certains qualifies d'extrême car «à la limite de la maigreur ». Je n'y suis pas pour grand chose, je ne suis pas du genre gourmande, les petit plaisirs passent par bien d'autres choses, donc je ne grossi quasiment pas. La nourriture n'est qu'une question de survie pour moi, cela explique donc très simplement mon apparence frêle. Bon, c’est vrai, un épisode de ma vie y est aussi pour quelque chose, mais vous en saurez plus un peu plus tard.
    De longs cheveux blonds platine tombent sur mes épaules, tantôt lisses, tantôt ondulés. Je sui blonde à la base, mais pas assez à mon goût voilà pourquoi je les teins régulièrement afin de me satisfaire. Une fois de plus certains trouvent ça inutile mais je suis très exigeante sur mon apparence, sachant parfaitement combien elle compte dans nos sociétés de cerveaux stéréotypés. Derrière une mèche dégradée et sous un maquillage souvent épais se cachent des yeux bleu-gris au regard constamment indifférent. Peu de choses m’intéressent et me surprennent, car je pense en avoir vu déjà beaucoup bien que je sois plutôt jeune, ce qui explique ma perception déjà monotone de la vie.
    Outre mon aspect fin et longiligne, comme toute occidentale qui se respecte j’ai une peau claire que je n’expose pas beaucoup au soleil pour la simple raison que je ne bronze pas, je rougis. On n’appelle pas les anglais « rosbif » pour rien. Je me passe bien de cette appellation humiliante, et me défend par un critère de beauté soi-disant universel depuis toujours comme quoi une peau blanche est belle et féminine. Soit, est-ce vrai? Je n’en sais rien, je ne suis pas une pro sur les théories de la beauté.
    Comme dit précédemment, j’accorde un soin tout particulier à mon image. Un maquillage impeccable, tout comme des ongles parfaitement vernis s’imposent. Les moindres détails comptent, et cela passe aussi par le style vestimentaire, bien sûr.

  • Description vestimentaire : Je vois toujours des clones tout autour de moi, et ça a le don de peser sur mon esprit, autant que la routine. C’est pourquoi la conformité n’existe pas chez moi, autant physiquement que psychologiquement. Je suis donc souvent dans la provocation, quitte à ce que ça me retombe dessus. Les gens sont enfermés dans leurs clichés, je m’estime différente et je ne changerai pour rien au monde. Mon style plutôt rock le confirme bien. Je porte quasiment toujours des vêtements prêts du corps: hauts courts ou assez décolletés, robes moulantes, jupes et shorts courts, souvent avec des collants à motifs ou des bas que je ne cherche pas à cacher, jeans slim ou troués le plus souvent, quelques fois plus amples. Je ne recule devant absolument rien, quitte à dévoiler parfois quelques parties de sous-vêtements toujours chics et sexy. Puisque tout est important, autant aller jusqu’au bout, bien que le plus souvent ce n’est pas vraiment voulu, la matière ou la coupe de mes vêtements y jouent pour beaucoup. Ca ne me gêne pas du tout et je me fous éperdument que ça choque. Qu’il y aie du respect, d’accord je veux bien faire des efforts, mais les gens peuvent et doivent aussi s’ouvrir un peu.
    Dans des occasions officielles, je passe à un style plus soft et passe partout, un peu vintage et chic, mais ce n’est pas vraiment ce que je préfère. Dans ces cas là, le « so british » se justifie totalement.
    Pour ce qui est de trainer à la maison, là en revanche pas d’innovation: T-shirt ample et jogging.
    J’accompagne toujours mes tenues par tout un tas d’accessoires. Bracelets à foison, quelques bagues parfois, au moins 1 collier, suivant les vêtements, une ceinture, des chaines ou un bandana. Tout dépend de l’inspiration.
    Pour ce qui est des chaussures, ce sont quasi tout le temps des talons, dans tous les styles. Il m’arrive parfois de passer à des converses ou des ballerines, mais c’est en général plus dans un souci de confort ou de sobriété.
    J’ai donc une armoire très remplie et très diverse, mais si il y a bien une chose que je déteste porter, c’est bien tout ce qui touche à l’uniforme scolaire. Ma hantise la plus profonde en matière d’habillement. Chemise rentrée dans la jupe, le tout avec un petit nœud cucul la praline ou une cravate immonde, des chaussettes montantes ultra moches et des petites chaussures en cuir de mémé ou des baskets de sport… Ah non vraiment, devoir porter ça tout les jours relève du défi. Je ne m’y suis jamais accommodée et heureusement que maintenant je suis à l’université depuis 3 ans je n’ai plus à supporter cette stupidité par soucis d’égalité. Une lubie débile selon moi: même avec des uniformes les bourgeois se démarquent, mais bon, visiblement ça ne dérange personne.

  • Autre: Je ne quitte jamais mon perfecto.




##Psychologie##


  • Caractère : Insoumise, chiante, anticonformiste, à tendance égoïste et égocentrique, indépendante, quelque peu solitaire, impatiente, voilà qui me résume plutôt bien. Je ne suis donc pas facile à vivre car rester à ma place de gentille fille toute sage ne me convient pas du tout. Il faut que ça bouge et je ne me laisse pas marcher sur les pieds. Inutile donc de me dicter ma conduite, ça ne sert à rien. Froide au premier abord, ça peut vite changer ou empirer selon le tempérament de la personne, mieux vaut être une forte tête pour me supporter. J’adore m’amuser et je n’ai pas peur de m’attirer des ennuis afin de briser un peu la grisaille du quotidien. En général j’en assume les conséquences, mais j’avoue qu’il y a des fois où je préfère fuir. Et oui moi aussi je suis lâche sur les bords, comme tout le monde quasiment. Bref, tout est prétexte à me divertir, et il arrive que dans ces moments là une pointe de sadisme bien marquée ressorte. Je suis comme ça, inutile de chercher une explication. Je ne suis donc pas bien sérieuse mais ça me convient parfaitement comme ça. On a qu’une vie et qu’une jeunesse, autant en profiter.
    Outre mon côté de débauchée fêtarde à souhait, j’ai aussi une part plus sérieuse. Et oui, Dieu ne m’a pas complètement ratée. Côté études, j’ai compris depuis longtemps que si je ne fais absolument rien, je n’ai aucune chance de m’en sortir convenablement. Alors je fais ce que je peux pour maintenir un niveau convenable tout en ne restant pas scotchée à mon bureau. Je cherche le juste milieu pour ne pas finir en élitiste ultra recherchée ni en je-m’en-foutiste de bas étage.
    Outre ce fait, j’ai tendance à me poser énormément de questions sur le monde qui nous entoure et à beaucoup réfléchir sur des choses tout à fait futiles. Une âme de philosophe sociologiste se cacherait-elle en moi? Peut-être mais en attendant je ne cesse d’être déçue par une nature humaine contradictoire, débile et faux cul à souhait. C’est justement, et quel paradoxe, cette nature humaine qui m’intrigue tant que je cherche à la comprendre. Mais à chaque fois j’en reviens au même constat et aux mêmes questions sans réponses, ça m’énerve, ce qui explique sans doute ma morosité quasi constante. La jeune adulte blasée qui rame par-dessus le marché vient sûrement s’ajouter à cela, d’autant plus que j’ai tendance à être très vite exaspérée et énervée. D’ailleurs quand je suis vraiment en colère il vaut mieux me laisser dans mon coin car j’ai tendance à tout casser et quand c’est en public, à m’en prendre au premier qui tenterait de me raisonner. Et là les insultes et coups partent à une vitesse folle sans que je ne puisse me contrôler.
    Un tempérament fort, je l’avais plus ou moins dit. Après les facettes de philosophe colérique qui passe son temps à faire des conneries, vient celle des moments de déprime. Un seul remède: laisser passer avec du Jack Daniels et des Lucky. Pas très sain mais c’est encore ce qui passe le mieux. En général je préfère m’isoler pour picoler et faire le point en paix. Certains peuvent me tirer de là pour des choses plus gaies, mais c’est s’exposer à mes foudres. Alcoolo après avoir à peine passé la vingtaine, ça craint, oui, mais c’est assez rare tout de même.
    Niveau amitié, tout se passe bien si la confiance est respectée. Je ne suis pas du genre à me confier, ou à des personnes en qui je fais entièrement confiance, ce qui est rare. En revanche je veux bien être confidente ou conseillère à qui le veut, même un inconnu. Je n’envisage pas la psychologie comme futur pour rien. En revanche, je dis les choses telles qu’elles sont et ne m’inquiète pas des conséquences sur la personne. Au moins elle a un point clair et net. Cette franchise, je la garde en toute circonstance.
    Niveau amour, je ne me prends pas la tête. Si ça doit venir, ça viendra. Que ça dure ou non, je n’en ai que faire, les relations d’un soir peuvent tout à fait me satisfaire, quitte à finir célibataire je n’ai pas absolument besoin d’un homme pour vivre.
    Dernière chose, je déteste attendre et je ne supporte pas l’ennuie. Ca a le don de me m’énerver ou parfois de me plomber. Le seul remède: la musique. A écouter ou interpréter, du moment que le temps me parait moins long, ça me va. Si en plus on me met une guitare entre les mains et que je peux donner de la voix, alors là c’est magnifique je n’ai plus à me plaindre.

  • Autre : Je ne vis pas sans Lucky Strike.



##Biographie##


  • Histoire :Je suis née en Angleterre lors d’un été pluvieux, à Londres. A croire que ce simple détail a donné la tonalité pour la suite de mon existence. Je suis de nature pessimiste mais je dois avouer que pour ce coup là, je n’exagère absolument rien. A peine née que tout était déjà compliqué: j’ai été adoptée. Mes parents biologiques étaient trop jeunes pour s’occuper de moi. 17 ans et complètement insouciants. Plutôt banal, mais quelque part je ne m’en plains pas. Au moins je n’ai pas eu à grandir avec des immatures. J’ai donc été recueillie par un couple de jeunes mariés, l’un dans le monde des affaires internationales, l’autre dans celui de la philosophie. Une prédestination à la réflexion et à l’envie d’ailleurs? J’en suis convaincue. Ils ne pouvaient pas avoir d’enfant naturellement, c’est pourquoi ils ont eu recours à l’adoption.
    Jusqu’à l’année précédent mon entrée en primaire, j’ai donc grandi à Londres, dans un environnement confortable où mes seules préoccupations étaient de découvrir le monde qui m’entourait et d’apprendre les bases des règles de vie en société. La plupart du temps, mes grands-parents s’occupaient de moi lorsque personne ne pouvait me prendre en charge, et comme le veut la tradition, j’étais pas mal gâtée, autant dire que je ne manquais jamais de rien. Ma mère prenait le relais après être rentrée de l’université où elle était prof de philo. Pour ce qui est de mon paternel, je n’ai jamais vraiment été proche de lui jusqu’au collège, pour la simple raison qu’il rentrait souvent tard et avait des tonnes de travail quand il n‘était pas à l‘étranger. Je n’ai donc pas vraiment de souvenir d’enfance avec lui, a part ce qui touche aux vacances et sorties en famille.
    Quelques mois avant mes 5 ans, nous avons déménagé en France, dans la ville Lumière. C’est là-bas que j’ai suivi l’enseignement primaire. A cet âge, apprendre quelque chose dans une langue que je ne comprenais pas, ça a été vraiment très difficile au début. Je n’ai jamais aimé l’école, et il ne faut pas chercher bien loin afin de savoir pourquoi, tout vient de là. Les crises pour ne pas aller à l’école, faire semblant d’être malade… Ca en devenait quotidien. Pendant 3 ou 4 mois j’étais invivable et restait toujours dans mon coin lorsque j’étais dans le lieu maudit. Je n’obéissais à personne et donnait du fil à retordre aux instituteurs. Ma mère était désespérée car c’était bien sûr elle qui devait gérer tout ça. Je me souviens que ça a été une période très dur pour elle, et que je m’en voulais à mort de la voir souffrir comme ça. A cette époque, les disputes étaient fréquentes entre mes parents, et je me demande même si ils n’étaient pas au bord du divorce. Il n’y avait que mon père qui parlait un peu le français, pour moi et ma mère c’était quelque chose de tout nouveau dont nous n’arrivions pas à nous accoutumer.
    Tout a commencé à se calmer à la suite de tous ces facteurs, sûrement grâce ou à cause, je ne sais pas vraiment, à un déclic. Le français devenait compréhensible, et les crises commençaient à s’espacer jusqu’à en devenir rarissimes. J’ai enfin pu m’intégrer un peu plus et enfin trouver des amis, ce qui m’était devenu inconnu depuis notre arrivée en France. Au bout d’un an, j’ai enfin pu vivre d’une façon que je qualifierai de normal, au grand soulagement de mon entourage.
    Jusqu’à mon entrée au collège, j’étais donc redevenue un petit ange qui ne demandait qu’à s’épanouir. Sauf qu’une fois de plus, il a fallu quitter notre petite vie bien installée à cause du travail de mon père. Cette fois-ci, direction New-York. J’avais d’abord vu ça comme un retour à une vie à l’anglaise, mais je m’étais complètement voilée la face. La vie américaine, n’a rien à voir. J’avais vraiment peur de nouveau avoir un vide, et me renfermer sur moi-même, mais je n’avais pas le problème de la barrière de la langue, bien qu’au début l’accent américain soit un peu déroutant. Les gens étaient ravis et très ouverts, je n’ai donc eut aucun problème du côté intégration. C’était soulageant, d’autant plus que mon père était originaire de New-York. Cette simple donnée a changé beaucoup de choses. Il était plus disponible, et tenait à me montrer les lieux qui avaient marqué sa jeunesse, ce qu’on ne pouvait pas rater dans la ville. J’en ai appris énormément sur lui, j’ai eu l’impression de le redécouvrir. Une sorte de manque enfin comblé d’une indisponibilité quasi constante qui m’avait beaucoup chiffonnée avant cela.
    Outre cette sorte de renaissance, j’ai bien sûr commencé à marquer mes premiers pas dans l’adolescence. Changements physique, passage par l’âge bête qui porte parfaitement bien son nom… Ah vraiment cette période me rend honteuse quand j’y pense. Je voulais tout le temps avoir raison, me démarquer, faire comme les vrais adolescents, sortir et faire la fête. Bon, ça n’a pas vraiment changé mais au moins maintenant j’ai des arguments qui tiennent la route et la différence est là. Ca ne fait plus autant pitié… Premier amour, première clope, première cuite, premières déceptions en tout genre… Bien sûr tout est venu petit à petit, et c’est avec toutes ces découvertes que j’ai vraiment commencé à me forger.
    Au stade du lycée, la barre est montée d’un cran, et Los Angeles à succéder à New-York, cette fois-ci suite à une mutation de ma mère. La première année a été très tranquille, mais à partir de la deuxième, j’ai vraiment commencé à me dévergonder. Tout est la cause d’un concert de rock. LA révélation de ma vie. Jusque là j’étais assez simple et même plutôt baba cool. Bon niveau personnalité ça n’a pas changé beaucoup de choses mais sur ma perception des choses et mes goûts, c’est le contraire. Ca m’a poussée à me dévergonder, et les soirées passées dans des clubs où e produisaient des groupe de rock, des concerts en plein air, boites de nuits, chez des amis à boire et fumer jusqu’au bout de la nuit, je ne les comptais même plus à force. Bien sûr ça ne plaisait pas à mes parents qui ont commencé à mettre des limites. J’ai dû me calmer mais la pilule à eut du mal à passer. Alors j’ai comblé mon besoin de m’amuser dans la musique. J’ai alors commencé à prendre des cours de guitare, et les soirées où je devais rester enfermée chez moi, je les passais à bidouiller sur ma guitare, à reprendre les Sex Pistols, les Gun’s Roses ou encore des groupes de sleaze. J’ai très vite progressé, et on a commencé à me proposer de jouer par-ci par-là au lycée, à faire quelques remplacements… C’était sympa et j’ai enfin pu trouver quelque chose qui me corresponde et dans lequel je puisse vraiment me donner à fond.
    Il y a alors eu l’épisode « Lovely Virus », nom débile pour le premier et unique groupe dont j’ai fait partie et qui m’a définitivement vaccinée pour les entreprises du genre. Ca a duré 2 ans et demi, à peu prêt, le temps de finir le lycée. J’étais la guitariste, et les trois autres membres assuraient respectivement les parties de batterie, basse et chant. Jusque là rien d’exceptionnel, mais en bonne adolescente aux hormones en pétard, il a bien sûr que le chanteur face son effet. Jason Stanley. Rien que d’y repenser j’ai envie de me pendre. Tout était parfait, aveugle et menée par le bout du nez, pendant ces deux ans et demi. Mais bien sûr, il a fallu que ça se termine et là, ça a été la descente aux enfers. Monsieur a été repéré et a lâché le groupe pour commencer une carrière dans une autre formation « nettement plus prometteuse ». Ca nous a mis en miette, les autres membres et moi. On savait que c’était terminé, mais on a quand même essayé de continuer. Seulement, les chanteurs que l’on trouvait n’avait soit pas le niveau, soit ne restaient pas bien longtemps. Au bout de 2 mois on a baissé les bras.
    De mon côté, c’était pire que tout. Je ne me relevais pas. Je ne sortais que pour aller en cours, et encore. J’étais tout le temps sur les nerfs, et me mettais à pleurer pour un rien. Quand j’ai appris qu’en plus il m’avait trompé d’innombrables fois, ça a été le coup de fatal. Pendant 3 jours je suis restée enfermée et une longue phase d’anorexie a commencé. Je ne pouvais pas manger. Mon corps n’acceptait pas de nourriture. J’ai commencé à maigrir dangereusement. Ca a été la sonnette d’alarme. Après un séjour à l’hôpital et un suivi psychologique intensif, j’ai enfin repris un peu de poids et une vie un peu plus normale. Mais c’est vraiment une période que je préfère oublier, et l’université m’y a bien aider.
    Adieu Los Angeles et toute la souffrance que j’avais éprouvée là-bas, un retour au pays s’imposait et la prestigieuse université de Cambridge m’a alors ouvert ses portes. Retour à la mentalisé anglaise et surtout à une ambiance universitaire. Radicalement différent et ça a été une bouffée d’oxygène. J’ai alors entamé une licence en (psychologie), suite à mon histoire, mais aussi et surtout parce que j’adore tout ce qui s’y rapporte. Ca doit venir de ma mère, je ne sais pas vraiment. J’ai commencé à monter ma petite vie en Angleterre, et une envie d’ailleurs m’a poussée à partir pour le Japon afin de poursuivre mes études. J’ai toujours adoré l’Asie et en particulier le pays du soleil levant. Kyoto, Osaka, Tokyo, Sapporo, Okinawa… J’y suis souvent allée en vacance avec mes parents, qui m’ont à vrai dire emmener un peu partout. Mais la première fois, j’étais très jeune, ça a été le coup de foudre. Une culture que j’ai toujours voulu connaitre vraiment, et j’en ai enfin l’occasion. J’espère ne pas être déçue….

  • Famille : Je suis fille unique puisqu‘adoptée, mais ça m‘a permis d‘être toujours proche de mes parents, mes grands-parents maternels qui sont tous les deux anglais, et qui se sont pas mal occupés de moi étant petite. Je connais beaucoup ma famille de ce côté, mais pas vraiment de celui de mon père. Il est américain, et même si j‘y ai vécu longtemps, je ne les ai vus que dans de rares occasions puisqu‘ils habitent un peu partout. Canada, Arizona, Texas pour certains… Difficile de se sentir proche si il n‘y a pas vraiment d‘unité.
    Pour ce qui est de mes parents biologiques, je les aie déjà rencontrés quelques fois, et ça m‘a toujours fait bizarre. De me dire que ce sont eux qui sont à l‘origine de mon existence alors que je n‘ai jamais vécu avec eux, c‘est une sensation très étrange. Mais ça ne m‘empêche pas de garder contact d‘autant plus qu‘ils ont chacun leur vie de leur côté maintenant, et d‘essayer de me rapprocher un peu afin de nouer des liens plus solides.



|~| In real life |~|


  • Prénom :Vous le connaissez déjà Razz
  • Age : 16
  • Serez vous actif ? : 3/10 (interne)
  • Par qui ou comment avez vous connu le forum ? : Déjà un compte
  • Avez vous lu le règlement ? : Passage de Kazuzu"! Razz




Est-ce que ce serait possible une filière en psycologie, psychanalyse... enfin des trucs bizarres dans le genre ? x)


Dernière édition par Samantha Williams le Sam 12 Fév - 19:41, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Great Britain comes in Japan...   Great Britain comes in Japan... Icon_minitimeVen 11 Fév - 23:37

Wow, rien que ça, j'ai envi de Rp avec toi.

Bienvenue, ou re-bienvenue... J'en sais rien. En tout cas, j'ai bien aimé lire ton début de fiche et compte sur moi pour la terminer.

(Et puis si tu veux un RP,rien que pour t'amuser à remettre en place un con de mon genre, n'hésite pas !)
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MessageSujet: Re: Great Britain comes in Japan...   Great Britain comes in Japan... Icon_minitimeSam 12 Fév - 15:39

Et bien merci, j'accepte ta proposition de Rp avec grand plaisir :)
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MessageSujet: Re: Great Britain comes in Japan...   Great Britain comes in Japan... Icon_minitimeJeu 17 Fév - 23:59

RAS dans ta fiche à part qu'elle est prenante! =) Validée Miss! :D
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MessageSujet: Re: Great Britain comes in Japan...   Great Britain comes in Japan... Icon_minitimeVen 18 Fév - 18:45

Bienvenue !

Il manque juste un détail : 4eme cycle, certes... Mais de quoi ?
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MessageSujet: Re: Great Britain comes in Japan...   Great Britain comes in Japan... Icon_minitimeVen 18 Fév - 19:24

Euh... Ce serait possible une section en psychologie? =X
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MessageSujet: Re: Great Britain comes in Japan...   Great Britain comes in Japan... Icon_minitimeVen 18 Fév - 23:54

Ok je t'ajoute ça Wink Tu peux commencer le Rp !
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MessageSujet: Re: Great Britain comes in Japan...   Great Britain comes in Japan... Icon_minitimeSam 19 Fév - 16:12

Merci beaucoup :D
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MessageSujet: Re: Great Britain comes in Japan...   Great Britain comes in Japan... Icon_minitime

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