L'allée des rencontres [PV : Aya Fujiwara]

Invité

J'arrive dans l'allée des cerisiers, les mains dans les poches, une veste à manches courtes sur le dos. L'allée est magnifique en avril à se que l'on dit. Et bien, les gens avaient raison, cette allée est magnifique en avril. Un léger vent plutôt doux arrive, je ferme les yeux, me met face au vent et commence à afficher un léger sourire. J'adore me mettre face à un léger vent, c'est comme si il venait me bercer doucement, de plus, les senteurs des cerisier viennent plus facilement maintenant que le vent est tourner vers moi. Une magnifique odeur. Il n'y a personne d'autre que moi pour l'instant dans l'allée, autant en profiter pour me relaxer, je viens d'arriver en même temps. Je m'assis sous le plus grand cerisier que j'ai eût sous la main, j met mes bras dans ma chemise pour pas avoir trop froid à cause du vent, le bas de mon visage rentrer dans le colle de ma chemise, je ferme mes yeux, mon sourire à disparue, je préfère me reposer pendant qu'il n'y a personne pour m'y surprendre. Je réouvre mes yeux environ une heure plus tard, le vent à finit de souffler, dommage. Il n'y a toujours personne dans l'allée alors qu'il fait un magnifique soleil. Il fait une température normale, les cerisier non pas perdu beaucoup de fleur, elles sont toujours aussi magnifique, surtout avec le soleil qui se reflète sur eux. Je remet mes mains dans mes poches, je me lève et avance dans l'allée, tranquillement, doucement pour passer moins de temps à ranger ses affaires. Mes yeux fermer à nouveau pour ne pas êtres éblouit par le soleil. J'ouvre doucement les yeux pour habituer peu à peu mes yeux à la lumière du soleil, je me pose sur un banc, profitant encore une fois des cerisiers en fleurs et leurs magnifiques odeurs.

(HRP : Désoler si tu trouve sa court, mais là j'ai pas vraiment d'inspi, sa viendras avec le temps.)

Invité

Aya est arrivée à Konoha le matin même...à peine sortie de l'avion, elle est déjà d'une humeur de chien...elle n'a pas pu prendre l'avion de son père qui était en déplacement et a du voyager avec les pauvres (oui...les pauvres de première classe c'est bien connu ^^).
Bien sûr, rien ne c'est arrangé au moment ou la jeune fille a pénétré dans sa chambre...elle a frôlé la crise d'apoplexie...ça c'est une chambre...et bien à quoi devait ressembler son salon privé (personne n'avait pensé à la prévenir qu'elle n'avait pas de salon privé...imaginez la crise quand allait l'apprendre...)
Mais bref, elle prend une douche, se voilant volontairement la fasse et s'obligeant à penser que toutes les douches lui étaient réservées puis elle se change, après plusieurs heure d'avion, ce n'était pas de trop...
Après une petite demi-heure d'hésitation, elle a finalement opté pour un pull en laine col en V très près du corps, blanc naturellement, et une jupe en tulle noir (aujourd'hui c'est jour de deuil...adieu le luxe...) elle a laissé ses chevaux libre d'aller comme bon leurs semblent et n'a mis que quelques bracelet en argent et son pendentif favori représentant une libellule, lui aussi en argent.
Elle n'a pas encore cours, demain oui, mais pas pour le moment donc pas besoin de porter d'uniforme, de ce côté là elle est tranquille.
N'y tenant plus, elle fini par quitter sa chambre.
Ou pourrait elle bien aller...qu'est-ce qu'elle pourrait faire pour ce distraire...elle ne dirait pas non à une petite balade.
Elle part donc se promener, faire le tour des bâtiments...elle perd u peu la notion de l'heure mais ce n'est pas bien grave.
Puis, elle arrive dans une grande allée, bordée par une multitude de cerisiers en fleurs...c'est joli, et le parfum des fleurs est agréable, sa mauvaise humeur fond comme neige au soleil.
A priori, elle n'est pas seul, il y a un garçon là-bas...elle ne le distingue pas très bien...alors elle s'approche.
Il est plus grand qu'elle (pas très dur...), plus vieux aussi, il doit faire parti des élèves du lycée lui aussi...il est habillé simplement, rien de très recherché...ce doit être un pauvre...
Mais après tout, il n'a pas l'air désagréable...il faut bien qu'elle cherche à s'intégrer...et puis surtout, elle est perdue...et lui paraît savoir ou il va...à peu près en tout cas.
Le garçon est sur un banc, Aya se rapproche, souriant du mieux qu'elle peut...elle s'arrête environ à trois mètres du banc, elle veux conserver son espace vital...
Puis, après avoir regarder le garçon (qui en fin de compte se rapproche assez d'un homme...il a facilement deux ans de plus qu'elle...) elle prend la parole, sa voix est douce, pas d'agressivité pour une fois.

"Hum...excusez moi de vous déranger mais...par un heureux hasard sauriez vous comment atteindre la bibliothèque?"

Aucune présentation, ce n'est pas non plus comme si il était son égal...elle veux juste avoir un renseignement, c'est déjà généreux de le vouvoyer...même si il est plus âgé.

Invité

Je regarde la jeune fille, à mon avis, une riche, tout comme je le suis bien que mes habits soit trompeur sur cela. Je la regarde avec mes yeux rouge, un regard normale, pas d'agressivité dedans, ni d'amitié. Je finit par sourire en voyant qu'elle est plutôt loin de moi, je me lève et m'avance vers elle. Oula, elle est plutôt jeune et elle se met déjà à bosser à la bibliothèque ? Encore une courageuse, vaut que je tire mon chapeau, mais j'en ai pas, dommage, en même temps, moi aussi j'allais souvent à la bibliothèque pour m'évadée un peu. Un léger coup de vent survient, je sourit toujours, je suis juste devant elle, elle qui à garder plusieurs mètres d'écart avec moi. Il faut bien qu'elle s'approche un minimum des gens. Je baisse les yeux pour la regarder, elle est vraiment jeune, environ deux / trois ans de moins que moi. Je retire mes mains de met poches, mon regard toujours poser sur ses yeux vert. J'e lui dit simplement quelques mot :

-Tout d'abord, bonjour, ensuite, ne me vouvoie pas, je n'aime pas ça. Moi en tout cas, je ne te vouvoierais pas. Pour la bibliothèques, je ne sais pas encore, je viens d'arriver, puisque tu me le demande aussi, cela signifie que toi aussi.

Je me rassoie sur le banc, mes yeux à nouveau fermer, le bas de mon visage dans le col de ma chemise, mes mains dans mes poches je dit encore quelque chose :

-Tu n'est pas obligé de rester aussi loin que ça. Sinon, je me nomme Zephyr, Zephyr Akanawa. Et toi ? Tu t'appelle comment jeune fille, si ce n'est pas trop indiscret bien sûr.

Je relève ma tête de mon col, je penche un peu ma tête sur le coté, j'ouvre mes yeux rouges et la regarde droit dans les yeux à nouveau, les mains retirer de mes poches, je sourit à nouveau, mes yeux à moitié fermer causé pas la fatigue. Je met mes bras le long de mon corps, j'évite d'êtres trop décontracter, je pourrais l'effrayer se serais dommage, je compte pas me faire une ennemi dés mon arrivé ici, une aussi jeune en plus.

Invité

L'inconnu regarde Aya...chose qu'elle n'avait pas vu avant, la couleur de ses yeux est assez singulière...rouge...rouge sang.
Et pourtant, son regard reste neutre, cette teinte ne le rendant pas plus agressif.
Un léger temps sans que rien ne se passe, à peine quelques secondes, le temps pour le jeune homme de déterminer à qui il a faire peut être...puis, un sourire, un sourire engageant, pour montrer qu'il ne mort pas...ou alors il prend Aya pour encore plus jeune qu'elle n'est, ça lui arrive souvent à cause de son physique...et ce genre de chose l'agace beaucoup.
Il se lève et s'avance vers la petite bourgeois, de son côté, elle reste sur la défensivement, elle n'est pas d'un naturel social...et elle n'aime pas les approche trop brutal à son goût.
Il est près, un peu trop...mais ça va quand même, la petite brune ne se sens pas trop oppressée, si il ne s'approche pas plus tout ira bien.
Non, c'est bon, il a fini de bouger, il sort ses main de ses poches, donc il reste ou il est...et puis, il commence à parler.

"Tout d'abord, bonjour, ensuite, ne me vouvoie pas, je n'aime pas ça. Moi en tout cas, je ne te vouvoierais pas. Pour la bibliothèques, je ne sais pas encore, je viens d'arriver, puisque tu me le demande aussi, cela signifie que toi aussi."

Bon...d'accord, pas de vouvoiement...encore jeunes gens c'est vrai que c'est rare, ça elle pourrait supporté.
Ensuite...il ne sais pas ou était la bibliothèques...donc il ne lui est d'aucune utilité...
Aya avait tendance à considérer la race humaine comme un ensemble de choses d'une valeur et d'une utilité plus ou moins importante et variant selon les individus...peu de gens apprécié cette vision des choses...naturellement...
Un bon point...il n'est pas stupide, il a compris que la jeune fille est nouvelle et puis à l'inverse de son interlocutrice, il paraît sociable, il sourit beaucoup...
Un mouvement, Aya est prête à reculer si il envie sa zone d'intimité, Mais...mais non, en fin de compte, il retourne juste s'asseoir sur le banc et ...il ferme les yeux...

* Si je t'ennuie dit le franchement...c'est plus correct *

Bien évidement, ça elle ne lui dirait pas en face...parce qu'il fait facilement quinze centimètres de plus qu'elle...
Les yeux fermés les mains de retour dans ses poches et le visage à demi caché dans le col de sa chemise...il s'est endormi ou...
Ou...car il parle,...à moins qu'il ne parle en dormant?
Quoique non, c'est trop clair et trop censé, bien plus que des parole marmonné pendant les sommeil...

"Tu n'est pas obligé de rester aussi loin que ça. Sinon, je me nomme Zephyr, Zephyr Akanawa. Et toi ? Tu t'appelle comment jeune fille, si ce n'est pas trop indiscret bien sûr"

Zephyr Akanawa...ça sonnait bien...
Les yeux d'Aya sont attirés par un mouvement, il retire ses mains de ses poches...encore...il n'a pas l'air de trop savoir quoi en faire...ça veux dire qu'il est mal à l'aise?
En tout cas, la jeune file, elle, l'est...elle n'aime pas être fixé comme ça...et puis rouge...c'est une couleur dérangeante quand on vous regarde avec un peu trop d'insistance.
Ouf, ses yeux se referme...pas entièrement mais suffisamment pour que la frêle petite fille n'est plus à soutenir le regard de Zephyr...
Oui, elle aurait pu baisser les yeux, détourner le regard...mais non, ce n'était pas envisageable.
Tout simplement parce qu'ici, elle n'est pas chez, pas dans son élément...elle doit se faire une place, s'imposer et montrer qu'elle est forte malgré son jeune âge.
Bon...il a posé une question tout à l'heure, Aya doit y répondre avant que trop de temps ne s'écoule.
Elle fait quelques pas vers lui, surtout pour reprendre confiance et bien s'ancrer dans le sol.
Un fois qu'elle se sent assez stable, que sa voix peu feindre assez d'assurance, elle commence à parler.

"Je suis Aya Fugiwara, contente de faire ta connaissance Zephyr."

Bien choisir ses mots...c'est la base de tout...sans que l'on s'en aperçoive, le cerveaux lit des mots à des attitudes, à certains comportement.
''Je suis'' et pas ''je m'appelle''...je sais qui je suis, ce que je suis, plus qu'un simple nom, je suis une personne à part entier et c'est comme ça que les autres me percevront.
Aya avait aussi répété me prénom du garçon, pour lui faire sentir qu'elle savait à qui elle avait à faire.
Bon...maintenant que les présentation sont faites, elle ne doit pas laisser de temps morts dans la discution...
Tout en allant s'asseoir sur le bans (en se mettant tout de même le plus loin possible de Zephyr...), elle reprit la parole.

"Depuis combien de temps es tu arrivé ici?"

Invité

Mes yeux rouges se ferment, elle est loin de moi, mais sur le banc, c'est déjà une bonne chose, elle n'est pas rester debout à attendre que quelqu'un lui disent ou est la bibliothèque. J'écoute attentivement la question, le bas de mon visage à nouveau dans ma chemise, je remet mes mains dans mes poches. Je suis plutôt à l'aise, elle est bourgeoise, comme moi je suis un bourgeois. Je ne fait bien sûr rien pour qu'on le sache. Je connais ses réaction, des réaction de bourgeois souvent un peu trop gâter. Moi, je n'ai pas était gâter, voilà pourquoi je connais à peu prés ses réactions. Et bien, elle n'aime pas ceux qui n'ont pas l'air de bourgeois on dirais, pourtant, elle devrait. Les gens qui on moins de sou que nous sont souvent meilleur, enfin, c'est ce que je pense. Elle cherche à prouver qu'elle est n'a pas peur, en même temps, je n'inspire pas la crainte. Elle ne sembla pas à l'aise, elle devrait se détendre, l'atmosphère autours d'elle es très tendu, comme si elle mépriser tout les gens qui étaient moins riches qu'elle, pourtant ses hommes et femmes ont une meilleur vie que nous, ils rient, ils jouent, ils font ce qu'ils veulent. Je prend la parole après avoir réfléchit quelques réfléchie et quelques secondes à réfléchir :

-Je suis là depuis environ trois ou quatre heures je pense, sans compter les deux heures ou j'ai dormit sous un cerisier. Toi aussi je suppose que tu est là que depuis aujourd'hui, c'est normale. Je préfère tout de même te poser la question, et toi ? Tu est là depuis longtemps ?

J'ouvre brusquement mes yeux, je ne sais pas pourquoi, peut-êtres pour lui faire un peu peur, je la regarde, la moitié de mon visage dans le col de ma chemise :

-Tu n'est pas à l'aise, tu n'a pas confiance en moi. C'est normale, on c'est à peine rencontrer, mais détend toi, si tu réagit comme ça à chaque fois que tu croise quelqu'un de moins riche que toi, tu va tous le temps rester distante avec tous le monde. Ce n'est peut-êtres pas eu qui vont venir vers toi, se sera surement à toi de faire le premier pas. J'ai un truc à te dire, moi aussi je suis un "bourgeois" Aya.

D'après mes déductions, elle devrait êtres plus sympa maintenant qu'elle sait qu'elle est en compagnie d'un autre bourgeois. Je la fixe à nouveau dans les yeux, un sourire aux lèvres comme à mon habitude. Je la laisse faire, elle s'approchera de moi si elle le souhaite, pas avant, je ne veut pas la brusquer.

"HRP : désoler, je doit faire vite donc c'est court."

Invité

Il ferme encore les yeux...décidément c'est une manie chez lui...
Puis il remet les main dans ses poches...ce petit manège commence à agacer Aya, ça rajoute à son stress de voir Zephyr répéter les mêmes actions, il le fait exprès ou quoi...
Il réfléchis...il cherche ce qu'il va dire...lui aussi surveille ses mots, ses expressions...il doit savoir tout ce que les petites grimaces parasites, les expressions et les tournures de phrases donnent comme renseignement sur la personne...
Maintenant il semble qu'il est suffisamment réfléchi, sa voix est calme son ton assez monocorde...

"Je suis là depuis environ trois ou quatre heures je pense, sans compter les deux heures ou j'ai dormit sous un cerisier. Toi aussi je suppose que tu est là que depuis aujourd'hui, c'est normale. Je préfère tout de même te poser la question, et toi ? Tu est là depuis longtemps ?"

Quelques heures...tout comme elle, il l'a deviné d'ailleurs...mais il pose la question quand même...il n'est pas sûr de la réponse qu'il vient de donner...ou alors il veux entretenir la conversation...
Aya le regarde...il a encore les yeux fermés...
Soudains, il les rouvrent, entièrement...il la fixe, le visage à moitié caché par le col de sa chemise...et il parle encore une fois.
Sauf que son ton est différent...Ou du moins, Aya le perçoit différent...ce n'est peut êtr que dans ça tête mais elle le sens beaucoup moins neutre, un peu inquiétant.

"Tu n'est pas à l'aise, tu n'a pas confiance en moi. C'est normale, on c'est à peine rencontrer, mais détend toi, si tu réagit comme ça à chaque fois que tu croise quelqu'un de moins riche que toi, tu va tous le temps rester distante avec tous le monde. Ce n'est peut-êtres pas eu qui vont venir vers toi, se sera surement à toi de faire le premier pas. J'ai un truc à te dire, moi aussi je suis un "bourgeois" Aya."

La jeune fille ne supporte pas qu'on cherche à l'analyser...à comprendre son fonctionnement.
Elle se sent directement agressée.
Réflexe de défense, elle se lève d'un bond, pour être la plus grande, avoir l'impression de dominer un peu la situation.
Les battements du cœur d'Aya avaient brusquement accélérés, leurs nombres augmenté par une émotion forte...un mélange de colère, de surprise et de frustration.
Mais la petite brune se reprend très vite, sa respiration devient plus calme...Ses prunelles vertes sont dardées sur Zephyr et sa bouche affiche un léger rictus, mi-moqueur, mi-agressif.
Elle laisse échapper un petit rire hautain puis toujours aussi dédaigneuse commence à parler.

"Et qu'est-ce qui te permet de croire que j'ai envie d'avoir le moindre lien avec les imbéciles qui fréquentes ce lycée...riche ou non je m'en moque bien...ils sont tous aussi peu peu digne d'intérêt les uns que les autres."

Toute sa vie durant...Aya avait été traitée comme une véritable merveille et ses parents lu avaient toujours expliqué qu'elle était bien supérieur à tout les autres...ils avaient d'ailleurs tellement bien inculqué se principe à leur petite ange qu'elle les avait vite considéraient comme faisant partit des personnes n'étant pas digne d'intérêt.
Autre chose qu'elle avait très vite apprise...la meilleure façon de se défendre lorsqu'on se sent agressé reste de répondre par le mépris le plus total...
Malheureusement pour la jeune fille, ce genre de valeurs n'aident pas énormément à s'intégrer dans une communauté.

Invité

C'est mauvais ça, je laisse s'échapper un soupir, un soupir qui montre bien que ce qu'elle dit est faux. Chaque personne m'hérite de l'intérêt, si elle pense ça, c'est qu'elle à était trop gâter par ses parents. A mon avis, ils ont dût lui dire qu'elle était supérieur à tout le monde, ils lui ont tellement dit qu'elle à finit par le croire. C'est dommage ça. Je devrais la faire changer, mais qui suis-je donc pour dire ça ? Je n'ai pas le droit de faire changer les gens, c'est à eux de décider si ils veulent changer. Elle c'est reculer, elle a donc un réflexe défensif commun, elle cherche à paraître plus grande. Elle lance un rire dédaigneux, elle parle comme si elle méprisais ce que je disais , je le ressent grâce au ton qu'elle y a mit ainsi que grâce à l'analyse que j'ai déjà effectuer. Je décide de l'agacer, pour la faire sortir de ses gonds, je sort mon briquet, j'ouvre et ferme le clapet, un bruit plutôt gênent prend place. Mes yeux rouges toujours fixant ses yeux verts, seul ma main à effectuer un mouvement, un mouvement destiner à agacer, une chose que j'apprécie. Pour moi, c'est comme une étude, c'est la première fois que je rencontre une personne comme elle, une personne qui méprise tout le monde. Je décide de parler en même temps que le briquet claque, le bruit est plutôt agaçant, sauf que moi je m'en fiche :

-Chaque personne mérite de l'intérêt, quel qu'il soit, aussi bien toi que moi. Tu n'est au dessus de personne, mais tu n'est en dessous de personne non plus. Tu Devrais réfléchir à ça. Tu n'est pas supérieur, rien en toi ne te rend supérieur, même pas ton argent. Tu est comme tout le monde, que tu sois riche ou pauvre, tu reste la même. Ce n'est pas parce-que ta famille ta dit que tu était supérieur aux autres qu'il faut le croire. Serte, tu a surement plus d'argent, mais ici, l'argent ne fait absolument rien. Tu te rendras vite compte que les gens voudront tiser des liens avec toi, alors que toi tu les repoussera sans véritable raison, puisque tu les considère comme inférieur à toi. Cela ne rime à rien, tu sera seul toute ta vie avec cette mentalité, tu considérera que personne ne te mérite, tu n'auras que l'agent comme compagnie et rien d'autre. Il va falloir changer tous ça à mon avis, enfin, c'est à toi de voir si tu souhaite rester seul toute ta vie, puisque ta famille finira par périr comme tous le monde, ou alors tu décide de changer et de te faire des amis.

Je fait toujours claquer mon briquet pour l'agacer, j'espère que sa va marcher, je tien à la faire sortir de ses gonds, maintenant il ne reste plus que à espérer.

Invité

Un soupir...un brin d'exaspération peut être...c'est vrai que les gens aiment rarement se faire mépriser...surtout par une fille de deux ans plus jeune...
Mais il ne s'agace pas, il sort juste un briquet...rien d'inhabituelle, à moins mois qu'il attaque Aya à coup de briquet...option peu probable.
Maintenant que la surprise et la colère son un peu retombé, elle est un peu moins crispée, elle n'est plus sous le coup d'un émotion un peu trop vive et son esprit se clarifie...enfin...il essaie...pas vraiment facile avec les cliquetis incessant du briquet de Zephyr...et puis il continu à la fixer...
La jeune fille aimerait détourner le regard, mais c'est exclu...ce serai un signe de faiblesse, montrer qu'elle n'est pas la plus forte...hors de question!
Et puis ce bruit...c'est insupportable, mais elle reste de marbre...c'est évident, il fait ça pour l'énerver...bien sur ça marche, Aya est quelqu'un qui aime le calme...mais elle ne lui fera pas le plaisir de le lui dire...il n'attend que ça.
Tiens, il ouvre la bouche...surement encore pour jouer au psy...qu'est-ce qu'elle peut détester ça...mais avec de la chance, il va arrêter le briquet pour parler...mais...mais non...raté!

(Hors RP:je ne reprend pas les parole de ton personnage cette fois...sinon ça va faire une réponseun peu trop longue ^^)

Hum...bien sur qu'elle n'était pas en dessous des autres, ça c'est évident...par contre, Zephyr n'a pas l'air de se rendre compte de sa propre infériorité...pauvre garçon...
Quoi qu'il en soit, il se permet tout de même de lui dire de réfléchir...à elle...il ne manque pas de culot celui-là.
Il ne semble tout de même pas avoir de grande notion de la réalité...rien ne la rendrait supérieure comme ça...et puis...il semble aussi croire qu'Aya tire toute sa grandeur de son argent...pathétique...ce garçon n'a décidément aucune clairvoyance...
Au mot famille...la mâchoire d'Aya s'était crispée...mais qui était il pour aborder ce sujet alors qu'il ne la connaissait que depuis dix minutes à peine!
Puis, il parle des relations que les autres voudront tiser avec elle...mais la petite brune écoute à peine, plonger dans ses pensée...un souvenir ressurgit et elle retourne dix ans en arrière.

* flash back *

La petite fille est contente, elle est arrivée deuxième d'un concours à l'échelle nationale...alors que tout les autres participants étaient beaucoup plu vieux qu'elle...au début ils s'étaient moqué d'elle parce qu'elle n'avait que cinq ans...mais là ils ne riaient plus...contrairement à l'adorable gamine dont les yeux brillaient comme deux étoiles...deux étoiles vertes...très courant...
Aya est même plus que contente...elle est aux anges, elle sais que ses parents la regardent...ils doivent être fière d'elle, deuxième c'est bien...
Dès que tout le monde a reçu son prix, elle court vers les places de ses parents, un sourire jusqu'au oreilles en brandissant fièrement son trophée.
Elle arrive devant les deux adultes, et ne voyant pas tout de suite le visage agacé de son père, elle parla...un peu vite, avec de l'excitation dans la voix.

"Vous avez vus! Je suis arrivée deuxième c'est b..."

La gamine n'a pas eu le temps de finir sa phrase, monsieur Fugiwara ne supportant plus la joie incongru de sa fille viens de la gifler.
Aya le regard, les étoiles dans ses yeux ont été remplacée par des larmes...elle ne comprend pas, elle regard avec attention les grand yeux verts de son père, cherchant un réponse...jusqu'à présent, lui et sa mère n'avaient toujours fait que lui sourire, alors que là...elle n'avait jamais était confrontait à la colère de ses parents et elle ne savait pas comment réagir...alors comme n'importe quel enfant, elle se jeter dans les bras de son père en pleurant.
Mauvais choix...
Il la repousse violemment, par une autre gifle...mais ce n'est rien côté des paroles qu'il prononce sur un ton dur, fustigeant la fillette du regard.

"Aya...tu me déçoit beaucoup...moi qui te pensais digne de faire partie de notre famille...tu crois que l'on fonde un empire en se contentant de pleurer et de gémir quand quelque chose ne nous plait pas...tu n'es qu'une sale gamine ingrate...après tout les sacrifices que ta mère et moi avons fait...c'est comme ça que tu nous remercies...en restant affreusement moyenne...quoi d'autre, tu voudrais peut être avoir des ''amis'' maintenant...fréquenter des gens aussi médiocre que toi pour te sentir moins pathétique...jusqu'à que tu ne leur soit plus d'aucune utilité et que tu te rabatte sur des gens encore moins digne de respect! A l'avenir, je te conseil d'être la meilleur et de t'endurcir si tu tiens à avoir une place dans ce monde...et à rester ma fille par la même occasion..."

Il y se détourne et part, laissant l'enfant à ses pleurs...madame Fugiwara fait de même et Aya se retrouve toute seule...abandonnée par les gens qu'elle aime le plus au monde...quelque chose se brise en elle.

*fin du flash back *

La jeune fille n'a plus repensé à ce souvenir depuis un certain temps...et elle n'est pas spécialement heureuse de le voire revenir...il lui rappelle à quel point elle exècre l'ensemble des membres de sa famille et plus particulièrement ses parents...
Zephyr continu à jouer avec son briquet...mais Aya est bien trop énervée pour s'en apercevoir.
Elle n'est plus du tout sur la défensive...au contraire, quand elle parle, son ton est clairement agressive.

"J'espère bien qu'ils ne vont pas vivre éternellement! Plus ils crèveront rapidement, plus vite je serrai tranquille! Mais toi...pour qui te prend tu as me donner des leçons de moral? Et laisse moi te dire mon cher Zephyr que tu te trompe sur moi...il n'y a rien à changer...je n'ai pas l'intention de me laisser berner par une bande d'hypocrite...Mais toi, tu ferais bien d'arrêter de te voiler la face, les amis...les gens qui t'aime...tout ça n'existe pas...on reste avec des gens tant qu'ils nous sont utiles et qu'ils servent nos intérêts...dès l'instant ou ils deviennent inutiles, on les oublis! Laisse moi te donner un conseil, tu as plutôt intérêt à t'endurcir si tu veux te faire une place dans le monde!"

Oui, la fillette a été marquée par cet événement passé et la Aya actuelle...bien qu'elle ne cherche plus ni l'amour ni la reconnaissance de sa famille a gardé en mémoire les principe que son père lu as enseigner...plus assurée de leur justesse par la réaction de ses parents.

Invité

Cette fois s'en est trop, je ne peut plus contenir ma colère qui finit par éclater. Des yeux tellement agressif, des yeux rouges de démon, voici à quoi ressemble ses yeux, un regard de haine jeter sur elle, mes dents serrer, je détruit mon briquet simplement en le serrant avec mon poing, je me lève, avance vers la jeune fille et la regarde de haut. Jamais ma rage n'a était aussi grande que maintenant, je me retiens de la gifler pour ses paroles. Je commence à perdre l'esprit sous ses paroles absolument infecte. Alors c'est comme ça qu'elle voie les gens ? Comme des objets inutiles ? Elle les considère comme des jouets que l'on jeté lorsqu'il sont inutiles ? Elle ne devrait pas rester là si c'est le cas, je ne supporte pas ce comportement. Une mentalité de bourgeois, je la reconnais bien cette mentalité tout à fait merdique. C'est surement une des chose que je déteste le plus au monde. Une personne avec une mentalité de bourgeois comme celle là ne devrais jamais sortir de chez elle, elle devrais rester bien sagement à attendre que l'argent monte pour encore traiter les gens de haut, même si elle n'en a pas le droit :

-Je te le dit calmement, tu n'aurais pas dût partir de chez toi. Les gens que dont tu te sers comme objet, tu a de la chance de les avoirs, avec une mentalité comme la tienne tu ne devrais jamais croiser personne, cela vaudrais mieux pour tout le monde. Moins les gens t'aimerons, plus vite tu comprendra que la solitude est pas la solution. T'es parents ton surement inculquer se principe, on les reconnais bien les bourgeois grâce à une mentalité comme celle là, une mentalité particulièrement détester. Repars dans ta maison, repars, tu n'arrivera à rien ici. Les écoles sont aussi faites pour se lier avec les autres, toi tu cherche simplement à les manipuler, ce n'est pas humain. En tout, ce n'est pas digne de notre espèce, sauf que ta famille le fait. Rien ni personne ne pourra te faire changer, rien ne pourra ton montrer la véritable amitié, rien au monde ne peut te sauver de cette mentalité inculquer par t'es parents avide d'argent et de pouvoirs dans ce monde de capitaliste ou l'argent règne en maître absolu. Sache maintenant que tu devrais repartir dans ta sublime maison avec t'es parents que tu détestent tant. Débarrassent tant si tu les haïs autant, cela te facilitera la tâche. Tu n'auras pas à rester avec des "hypocrite" de notre genre, tu repartira directement chez toi et reprendra l'affaire familial je suppose que c'est ton but d'ailleurs.

Mes dents toujours serrer je la fixe toujours de se regard remplit de haine, ce regard que je déteste, ce regard qui me fait peur à moi même. Mes poings sont serrer, prêt à lancer une gifle si elle ose encore dire que l'amitié ou l'amour n'est que de l'hypocrisie. Je me contient, jusque là prochaine bêtise, ma gifle sera magistrale, elle va regretter d'insulter l'amour et l'amitié que je chéris tant, même si je suis un bourgeois moi aussi.

Invité

Aux regard que Zephyr lui lance, Aya sans qu'elle a était trop loin.
Même si elle se comporte comme une enfants trop gâtée, elle est loin d'être stupide et elle c'est bien rendu compte compte que le jeune homme était beaucoup plus grand et beaucoup plus fort qu'elle.
Et puis...déjà que ses yeux n'étaient pas très rassurant, lorsqu'il se m'était en colère, c'était encore pire, ça lui donnait un air terrifiant, presque monstrueux...
Il semble vraiment hors de lui, au point de réduire en bouillie son briquet en se contentant de serrer le poing...non, vraiment là la petit brune n'a pas assurée, le mettre en colère ça 'a pas du tout été une bonne idée...
Il se lève en plus...tout de suite elle se sent moins grande...et même, elle se sent très petite.
Hum...et même il avance...qu'elle chance...
Même si Aya n'a jamais été très sportive, elle se débrouille bien en course à pied...mais il est hors de question de fuir...c'est sa fierté qui est en jeu tout de même!
Il parle...son ton est dur, sec...cassant.

"Je te le dit calmement, tu n'aurais pas dût partir de chez toi. Les gens dont tu te sers comme objet, tu a de la chance de les avoirs, avec une mentalité comme la tienne tu ne devrais jamais croiser personne, cela vaudrais mieux pour tout le monde. Moins les gens t'aimerons, plus vite tu comprendra que la solitude est pas la solution."

Et c'est ça qu'il appelle être calme...heureusement qu'il n'a pas missiles à la place des yeux sinon Aya serais déjà dans le même état que le briquet...
Quoiqu'il en soit, il semble que la petite brune est touché un point sensible...c'est ce qui a tendance à arriver quand elle se sent agressée...comme elle est plutôt douée avec les mots, elle les utilises comme des armes et fait toujours mouche...sauf que ce n'est pas toujours une bonne chose...la preuve.
Mais Zéphyr n'a pas fini.

"T'es parents t'ont surement inculqué ces principes, on les reconnais bien les bourgeois grâce à une mentalité comme celle là, une mentalité particulièrement détestée. Repars dans ta maison, repars, tu n'arrivera à rien ici. Les écoles sont aussi faites pour se lier avec les autres, toi tu cherches simplement à les manipuler, ce n'est pas humain. En tout, ce n'est pas digne de notre espèce, sauf que ta famille le fait."

Parce que lui n'est pas un bourgeois peut être...
Et puis, il lui dit de repartir...en son fort intérieur, Aya rit...repartir...mais elle ne demande que ça!
Ici, pour elle ce n'est pas une école, c'est une prison...elle ne veux surtout pas s'intégrer, se faire des soit disant amis...non, elle n'a pas envie d'être là et ferait n'importe quoi pour être libre.
Mais lui, qu'est-ce qu'il en sais...et pourquoi il tiens tant à la faire adhéré à sa vision idéalisée du monde...si il souhaite s'enfermer dans son pseudo bonheur, qu'il le fasse tout seul, sans entrainer les autres avec lui...
Et il continu encore de déblatérer ses sornettes.

"Rien ni personne ne pourra te faire changer, rien ne pourra ton montrer la véritable amitié, rien au monde ne peut te sauver de cette mentalité inculquer par t'es parents avide d'argent et de pouvoirs dans ce monde de capitaliste ou l'argent règne en maître absolu."

Ah...c'est donc ça...il se prend pour le grand défenseur de valeurs archaïques qui avaient peut être un sens au temps ou l'homme vivait dans des caverne...mais qui maintenant n'avaient plus lieu d'être...encore un de ces nostalgique de l'époque ou tout le monde se serraient les coudes...encore un qui refusent de voir que les choses changent, que le monde avance à grand pas et qu'il ne fait jamais marche arrière...encore un qui a peur de l'avenir et qui se cache sous un amas de belles valeurs ne signifiant plus rien de nos jours...
Un de ceux qui sont capable de défendre leurs idéaux pendant des heures et des heures, jamais à cours d'arguments...d'ailleurs comme pour donner raison à la frêle enfant, le discours de Zephyr ne finissait pas.

"Sache maintenant que tu devrais repartir dans ta sublime maison avec t'es parents que tu détestent tant. Débarrassent tant si tu les haïs autant, cela te facilitera la tâche. Tu n'auras pas à rester avec des "hypocrite" de notre genre, tu repartira directement chez toi et reprendra l'affaire familial je suppose que c'est ton but d'ailleurs."

L'affaire familiale...oui...bien sur qu'elle allait la reprendre.
Enfin, Aya avait plutôt l'intention de tout vendre, de dilapider l'argent aux quartes vents, en broutilles inutiles...tout le monde parlerait de l'échec total de la famille Fugiwara à garder leurs nombreuses entreprises en vie.
La honte s'abattrait sur son nom...de cette façon, elle espérait salir au mieux la mémoire de ses ancêtres...peut être même qu'avec de la chance, son père serait encore vivant et pourrait assister au massacre...si c'était le cas, ce serait un pur bonheur...
Bien sur, elle n'avait pas non plus envie d'abandonner le luxe...elle garderait un peu d'argent, le minimum et elle épouserait un homme...peu importe qui, il s'agirait juste de changer de nom...puis, elle commencerait une nouvelle vie qu'elle construirait par elle même, de cette façon, elle ne devrait rien à personne.
La petite brune revient à la réalité, au moment présent...elle a une furieuse envie d'exposer à son tour sa façon de voir les choses, de démonter les arguments du garçon...elle est très forte à ce jeu là...mais le problème c'est lui est très fort tout court...
Mais elle ne compte pas fuir, elle se recul juste de quelques pas, pour ne plus être à porter de ses mains...on ne sais jamais...dans le doute...
C'est un geste un peu inutile, elle est quand même suffisamment près pour qu'il l'attrape avant qu'elle n'est le temps de partir en courant si l'envie lui prend.
Elle sais qu'elle n'est pas prudente, Zephyr n'a pas l'air très stable comme garçon, mais c'est plus fort qu'elle, même si ça l'ennui de devoir le reconnaître, il a éveillé sa curiosité...il n'est pas stupide, c'est un fait avéré, mais pourquoi tient il tant à ces valeurs?
Posant ses mains sur ses hanches, elle crée un léger déséquilibre en basculant la plus grande partie de son poids sur sa jambe gauche, histoire de bien montrer qu'elle n'a pas l'intention de partir.
Elle le fixe, sans agressivité...son regard est juste...il n'y a pas trop de mots pour le décrire...perçant est sans doute ce qui se rapproche le plus.
Oui, Aya regarde le grand jeune homme comme si elle cherchait à tout savoir sur lui, sa vie, son histoire, ses choix, ses peines, ses doutes.
Si elle veux pouvoir analyser, elle doit le pousser à parler, l'énerver aussi, sous la colère, c'est le cœur qui parle et non le cerveau...si elle le pousse encore plus à bout sur d'autres sujets, elle en sera plus long sur lui...
D'abord le questionner sur son avenir...et au passage se renseigner sur la relation qu'il entretient avec ses parents, ça joue beaucoup sur les gens...si il a de bonnes ou de mauvaise relations, ça change énormément la donne...
La jeune fille commence donc à parler, son ton n'est pas agressif pour le mois du monde, au contraire, très calme, très posé...comme si elle a finalement décidé de faire connaissance et d'être gentille...c'est un peu le cas en faite...être gentille jusqu'à ce qu'il ne donne plus l'impression d'être prêt à massacrer tout ce qui bouge et le remettre ne colère après, en testant un point qu'elle sens sensible.

"Reprendre l'entreprise familiale...oui, en quelque sorte...et toi, qu'est-ce que tu compte faire de ton futur? Et...qu'est-ce que ta famille et tes parents attendent de toi?"

Invité

Ma colère, ma rage, cela augmente en moi, elle augmente aussi vite que les lapins se multiplient. J'ai dût mal à me contrôler, j'hésite à lui mettre une gifle maintenant ou attendre le bon moment. Elle me demande les relations avec ma famille ? Elle est inconsciente ma parole ! Et en plus avec un ton calme comme si elle voulais me calmer, êtres gentil avec moi pour apaiser ma colère ! Sa ne marchera pas ! Je me met à sa taille, un regard noir, remplit de rage, je n'écoute ni mon coeur ni mon cerveau, j'écoute mon instinct, il me dit de la gifler maintenant, mais je ne peut pas, je doit encore attendre le bon moment. Je serre les dents, un léger grognement s'échapper, avec des yeux comme ceux là donne l'impression que ses canines sont plus grande et plus menaçante, comme celle d'un félin. Je sort le desert eagle de mon père, son arme préférer, aussi la mienne. Je met la sécurité au cas où je ne pourrais plus me maintenir. Je pointe l'arme vers le bas tout de même, je la fixe droit dans les yeux, l'air de lui demander une chose, ou encore plusieurs "Veut tu goûter à l'enfer ? Non ? Et bien pourtant, tu viens de déchaîner sa colère en me provoquant, voilà ce que j'ai envies de dire, mais je ne peut le dire. Je finit enfin par prendre la parole, je vais répondre tout de même à ses questions, mais uniquement à celle là :

-Le fait d'êtres plus gentil d'un coup avec moi n'arrange rien, au contraire, elle augmente encore plus ma haine. Je vais tout de même répondre à t'es questions. Dans mon futur, je souhaite en premier éradiquer de cette planète les personnes de ton espèce, les personnes qui se servent des autres et les lâche une fois inutile, ensuite je compte partir médecine. Tu te demande surement pourquoi moi je ne veut pas reprendre l'affaire familiale, tout simplement parce que il n'y a aucune affaire familiale chez moi. Tu vois cette armes ? C'est l'arme avec laquelle j'ai fait justice moi même. Mes parents sont mort sous mes yeux à cause d'un cambriolage qui a mal tourné, avant de mourir, mon père ma envoyer son arme. Avant que le voleur ne me tue moi aussi, j'ai tiré deux balles, une dans le coeur, l'autre dans la gorge. Il n'avais aucune chance de survis. Depuis ce jour, je ne me suis jamais servit de l'argent de mes parents, j'ai toujours utiliser l'argent que je gagner, je ne me sers pas de l'argent gagner par les autres. Je travaille pour mon argent. Je tue aussi pour de l'argent, mais cela n'a aucun rapport.

Je range l'arme, ma colère n'est pas apaiser, elle augmente toujours. Je ne reprend plus la parole, de peur que ma rage ne soit trop grande. Je finit par me remettre à ma taille normale, la regardants de haut, le soleil tapants dans mon dos, comme si c'était l'arriver d'un démon sur terre, bien que je sois un humain. Mon air est sombre, on ne voit plus que mes yeux rouge, remplit de haine, mon corps est sombre à cause du soleil dans mon dos.

Invité

Ah....mauvais choix apparemment, Zephyr n'a pas l'air d'avoir aimé la question...oui, bon d'accord il a l'air d'avoir franchement détesté;
Et en plus...cette idée brillante n'a fait que renforcer sa colère.
Il se baisse un peu, pour que ses yeux soient au niveau de ceux de la jeune fille.
Il est plutôt effrayant, avec ses yeux rouges remplient de haine et son air de prédateur...inconsciemment, Aya a un mouvement de recul...même si elle préfère se voiler la face et ne pas l'admettre, elle commence sérieusement à avoir peur.
Oh...génial...en plus il a une arme, la prochaine fois que la jeune fille voudra se faire un ennemis, elle se renseignera avant.
En tout cas, larme et pinté vers le sol, pas vers elle, c'est déjà un bon point...enfin, elle est quand même dans une situation délicate...
Il parle maintenant, pas très sympa comme discours...

"Le fait d'êtres plus gentil d'un coup avec moi n'arrange rien, au contraire, elle augmente encore plus ma haine."

Et en plus, il avait fallu qu'elle tombe qu'elle tombe sur quelqu'un de suffisamment intelligent pour voir clair dans son jeu...le sort n'était pas avec elle aujourd'hui.

"Je vais tout de même répondre à tes questions. Dans mon futur, je souhaite en premier éradiquer de cette planète les personnes de ton espèce, les personnes qui se servent des autres et les lâche une fois inutile, ensuite je compte partir médecine."

Et bien...si il veux éradiquer la totalité de la race humaine, il risque d'avoir du boulot...
Mais...qu'est-ce que sa famille dit de ce projet?

"Tu te demande surement pourquoi moi je ne veux pas reprendre l'affaire familiale, tout simplement parce qu'il n'y a aucune affaire familiale chez moi. Tu vois cette arme? C'est l'arme avec laquelle j'ai fait la justice moi même. Mes parents sont morts sous mes yeux à cause d'un cambriolage qui a mal tourné, avant de mourir, mon père m'a envoyer son arme. Avant que le voleur ne me tue moi aussi, j'ai tiré deux balles, une dans le cœur et l'autre dans la gorge. In n'avait aucune chance de de survis. Depuis ce jour, je ne me suis jamais servit de l'argent de mes parents, j'ai toujours utiliser l'argent que je gagner, je ne me sers pas d'argent gagner par les autres. Je travaille pour mon argent. Je tue aussi pour de l'argent, mais cela n'a aucun rapport."

Ah...ça Aya ne s'y attendait pas...tout de suite, elle comprend mieux pourquoi le jeune homme paraît si instable.
Elle n'a vraiment pas eu une grande idée en le poussant à bout.
Il range son arme et se relève...le jugement un peu obscurcie par la peur, la petite brune perçoit Zephyr encore plus grand qu'il n'est vraiment.
Il est terrifiant comme ça...et même si la jeune fille fait souvent preuve d'une grande maturité pour son âge, il y a des contexte ou elle se comporte comme une petite fille.
C'est étrange, mais pas tant en faite, c'est juste qu'elle n'a jamais était confrontée à certaines réaction et qu'il existe bon nombres de situations qu'elle est tout bonnement incapable de gérer...
Et la colère du jeune garçon fait partie de ces situations...
Maintenant, elle n'a plus rien à voire avec la jeune fille moqueuse et sûre d'elle à laquelle Zephyr a eu à faire...s'étant un peu tassé sur elle même pour se protéger, elle ressemble plus à une gamine apeurée, impression renforcée par la fragilité de son corps.
Et naturellement, elle réagit comme n'importe qu'elle enfants face à la peur...même si dans un dernier élan de fierté elle cherche à contenir ses larmes, ses yeux la trahissent et laissent s'échapper quelques unes de ces perles salées qui roulent le long de ses joues.
Chose extrêmement logique, elle n'a qu'une envie, prendre ses jambes à son cou...mais elle en est incapable.
Elle est paralysée par la peur, incapable d'exciser un mouvement ou même de parler...elle reste à le regarder, sans savoir comment réagir.

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L'allée des rencontres [PV : Aya Fujiwara]

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