Konoha Gakuen [Next Gen] 2.1
Bienvenue à Konoha High School !
Depuis les événements dramatiques de 2011, beaucoup de choses ont changées... Une étrange bactérie du fond des océans vint semer la zizanie et les humains ne sont plus vraiment pareils... La ville de konoha, 25 ans plus tard, sous le signe du chaos et d'un régime totalitaire, venez vivre l'aventure !
Oserez-vous vivre dans un monde où la normalité n'existe plus ?
Konoha Gakuen [Next Gen] 2.1
Bienvenue à Konoha High School !
Depuis les événements dramatiques de 2011, beaucoup de choses ont changées... Une étrange bactérie du fond des océans vint semer la zizanie et les humains ne sont plus vraiment pareils... La ville de konoha, 25 ans plus tard, sous le signe du chaos et d'un régime totalitaire, venez vivre l'aventure !
Oserez-vous vivre dans un monde où la normalité n'existe plus ?



 
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Partagez
 

 Au détour d'une ruelle (pv Jed K. Spencer)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité



Au détour d'une ruelle (pv Jed K. Spencer) Empty
MessageSujet: Au détour d'une ruelle (pv Jed K. Spencer)   Au détour d'une ruelle (pv Jed K. Spencer) Icon_minitimeSam 23 Avr - 12:12

Fais que le rêve dévore ta vie afin que ta vie ne dévore pas ton rêve.


le vent faisait voler les feuilles en décrivant de gracieux arc de cercles pour retomber en douceur sur le sol recouvert de mousse verte et de branchages morts. Il faisait calme ou plutôt, on entendait que le bruit lassant des gouttelettes d’eau retombant sur les petites flaques qui petit à petit se formait sur le sol devenu boueux depuis bien longtemps. Ensuite, au loin, on pouvait voir s’approcher le brouillard dissimulant lentement, mais surement, les troncs d’arbre, les pierres parsemées sur le terrain. La forêt endossait en douceur son aspect mystérieux. Et pourtant…

Oui, pourtant… J’étais là, appuyée contre ce tronc, tapis derrière à l’affût de la solitude, tel un renard s’apprêtant à bondir sur un lapin, je l’attendais. Pourtant, j'avais la nette impression de ne pas être seule. Cette impression incertaine soit-elle me tenait et je n'arrivais pas à la faire partir. Elle agissait comme le peur, celle qui une fois nous as attraper ne nous lâche que pas mal d'heure plus tard. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi j'avais cette impression...

...

Un sursaut... Des frottements d'étoffes... Un combat contre un amât de tissus bien trop chaud et bien trop grand. Je me réveilla en sursaut, regardant tout autour de moi, cherchant un repère. Je fini par allumer ma lampe de chevet. Je ne reconnaissais rien de tout ce qui m'entourait.


« C'est vrai... Je suis au Japon maintenant... »

L'eau commença à couler, ruisselant tout le long de mon corps, collant mes long cheveux roses à ma douce peau. Pendant que l'eau chaude détendait mes muscles, je repensais à ce rêve. Quel étrange rêve!

Une fois ma réflexion finie, je n'avais plus qu'à sortir de la douche. Et au lieu d'enfiler à nouveau ma nuisette, j’enfilai une mini-jupe noir et rose avec des bas collant semi-opaque et une blouse rose à finie bride par dessus laquelle j’enfilai un t-shirt blanc troué de toute part dévoilant ainsi ma blouse rose en dessous. Pour mes cheveux, après les avoir séché, je les avais bêtement attaché en une queue de cheval vraiment mal faite car j'avais encore beaucoup de mèches libre. J'enfila alors mes chaussures et mon pull noir et rose avec ma capuche rabattue sur ma tête avant de quitter ma chambre.

Je marchais en silence dans les rues, cherchant simplement à oublié où j'étais maintenant. J'aimerais tellement retourner à Manhattan, cette ville me manque tellement et ma famille alors... Je marchais la tête haute dans ce lieu que je ne connaissais pas, ou plutôt que je découvrais au rythme de mes pas. Je regardais en silence les personnes qui m'entouraient découvrant ainsi des êtres aux apparences plutôt obscure. Je voulais m'isoler d'eux maintenant, enfouissant ma main dans la poche de mon gilet, cherchant mon mp3 et mes petits écouteurs... Ma poche était vide. Je ne comprenais pas. Les avais-je perdu? Non 'était impossible. Me les avait-on volé? Non, je l'aurais senti... Enfin, je pense. Je baissa la tête, portant mon index à ma lèvre inférieur, je réfléchissais. Les avais-je vraiment pris avec moi à la base? Quand est-ce que je les avait utilisé pour la dernière fois? ...

Perdue dans mes réflexions, je n'avais pas vu cet homme approché de moi en courant. Tout le monde c'était écarté de son passage sauf moi. Il ne pu m'éviter et je me retrouva alors couché à terre sous lui. Je le regarda alors en silence. Il est plutôt mignon, mais j'en ai rien à foutre. Je le regarde toujours, attendant qu'il se bouge. Il est toujours là, immobile. Je le repousse un peu pour lui faire comprendre qu'il m'oppresse avec son poids, mais il reste là. Je n'ai donc plus d'autre choix, je m'exprime dans ma langue natal, l'anglais, en espérant qu'il me comprenne et qu'il se bouge enfin.


« Excusé-moi, mais pourriez-vous vous bouger »

J'avais parlé calmement même si doucement je sentais mon ventre devenir douloureux à cause de cet homme sur moi. Il n'était pas vraiment lourd, mais c'était plutôt parce qu'il envahissait mon espace, mon monde. Ce lieu que depuis des années, je garde isolé de tout contact extérieur outre ceux que je désire et lui, là, il se tenait collé à moi. Jamais il n'y avais eu une personne aussi proche de moi. Il était trop près, je n'aimais pas cela. Il devait reculer rapidement. Mais malgré ce que je ressentais à cause de nos corps enlacés, je ne montrais rien de tout cela, préférant comme toujours me montrer froide et distante. Après tout, je ne voulais pas avoir des personnes proche de moi, ni physiquement, ni mentalement. Pourtant, je ne le repoussais pas vraiment, je l'avais juste relever un peu pour avoir plus facile à respirer et aussi pour pouvoir lui parler en le regardant dans les yeux. C'était un tic chez moi de regarder les personnes dans les yeux, ainsi, je leurs montrais que je disais réellement ce que je pensais et que j'étais convaincue par mes dires.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



Au détour d'une ruelle (pv Jed K. Spencer) Empty
MessageSujet: Re: Au détour d'une ruelle (pv Jed K. Spencer)   Au détour d'une ruelle (pv Jed K. Spencer) Icon_minitimeMer 4 Mai - 1:54

Le bitume est un endroit dur et douloureux. Gris et triste, triste et froid. Combien de fois dans ma jeunesse ais-je mis les pieds et même...la gueule contre ? Je ne compte pas. Le nombre de litre de sang que j'aurai perdu en 20 ans, le nombre de gueules cassées, le nombre d'os brisés. On se demande pourquoi moi, fleuriste, assis derrière mon comptoir à regarder par la vitrine l'extérieur, je pense à ça. On se demande pourquoi, avec ma gueule de mauvais garçon, mes piercings partout et mes tatouages. Peut-être aussi ce style décalé qui fait mouiller et bander, mais que pas mal de personnes "Propre sur elle" désapprouve. Alors quoi ? Ha oui. Pourquoi je suis ainsi, à penser à tant de violence tout en faisant une composition pour la reine mère d'Angleterre ? Mmm probablement parce que j'ai vue sur une ruelle menant aux quartiers mal famés de Konoha. Cela ne fait pas si longtemps que je traine ma carcasse par ici, mais je connais de cette ville presque chaque recoins. Mes longues nuits blanches à arpenter les rues probablement, m'ont entrainées à reconnaitre telle rue de telle rue.

Bon. Composition terminée. Je range le tout, emballe la compo et ferme boutique. J'apporte ensuite mon œuvre à un type qui amènera le tout à bon port. mes docks martèlent le sol. Il n'est pas tard, bien au contraire, mais normalement, c'est mon jour de congé. D'habitude, mes pas me conduisent directement au bar de Benny, mais là, en sentant le vent sur mon torse nu, l'envie de rester dehors me tente. C'est ce que je fais alors, passant devant avec juste un regard pour cet endroit que j'aime tant, mon slim moulant mes jambes maigres. Je ne fais pas attention à ce qui m'entoure, avant de sentir des gouttelettes sur ma peau. Sur mon visage. Elle roule, comme de petites larmes sorties de nulle part. J'enfile alors le sweat attaché autour de ma taille et remonte la capuche sur ma chevelure noire. Le vent frais est agréable à mes sens. Quelqu'un me bouscule, s'excuse, ce n'est rien. Je ne suis pas du genre à péter les dents pour si peu. Une main pour saisir mon mp3. Hic. L'enfoiré. Je me tourne, le vois courir. Il ne m'a pas bousculé pour rien. Par accident. Ou alors un putain d'accident vachement bien préparé. Je fronce les sourcils. Il court vite l'enfoiré. Je lui court après. Mais le truc que personne ne sait forcément, c'est que je suis tout sauf sportif. Voilà le truc qui fait qu'au bout de même pas deux mètres, je me met a tousser comme un fumeur, je me met à cracher mes poumons, ils me brûlent d'ailleurs, tentant de me faire ralentir, me rappelant que je n'ai jamais aimé le sport et encore moins maintenant. Je suis grand, c'est clair, mais mes jambes ne sont pas faites pour la course. Loin de là. Il bifurque, je fais de mêne. Ou du moins, je tente. Au moment ou j'aurais pu l'attraper, le salop, je me vautre, percute quelqu'un et échoue comme une merde sur le sol.
Bitume. Mou ? Chaud ? Ha merde. Je roule sur le côté et m'asseille, le cul trempé. Une flaque. Shit. Je regarde alors la jeune femme qui a l'air de me fusiller du regard. Comme je la comprend. Je viens juste de l'écraser et j'ai en plus de cela pris tout mon temps pour me relever. Désemparée ? elle ne l'est pas tant. Mais en aucun cas, elle n'a l'air super heureuse. Je la toise de aut en bas sans gêne, avant d'ouvrir enfin la bouche. Merde. Je me sens pâteux. Ce doit être d'avoir couru comme un malade. Pour ce qui est du voleur, il doit être super méga loin vu la vitesse qu'il avait pour me fuir. Interêt que je ne le voit pas. Je replonge à nouveau mes yeux azurs dans ceux de la jeune femme, qui m'a l'air d'être tout, sauf nipone.
-Hom...sorry.
Je me gratte l'arrière du crâne. Je ne sais pas trop quoi rajouter. Les japonais font des courbettes en veux tu en voilà, mais moi, c'est vraiment pas mon truc. Je ne sais pas pourquoi c'est une habitude, une coutume, que nous autre, texan, n'avons pas vraiment, les seules fois ou nous courbons l'échine, c'est pour un effort physique et non pour de simples et plates excuses.
-Are you ok ?
Je ne me rend même pas compte que je parle anglais. Je ne suis même pas sur qu'elle me comprenne. Et si elle me frappe en hurlant au satyr, alors je ne pourrais pas lui en vouloir. La pauvre fille. alpaguée par un énorme énérgumène tatoué piercé au possible, lui adressant la parole dans un anglais bien américain, limite gros texan de base. Le rustre à la voix pétée par les drogues et le chant.



{"^" je suis jamais rentré du taff TTwTT Je suis désolé...tellement désolé. Cela ne se reproduira plus. Si tu veux qu'on arrête a cause de ma connerie alors U3U soit...je pourrais que comprendre. Cela dit j'espère que tu me pardonnes et acceptes de continuer...♥ un Jed...tout pourri et désolé}
Revenir en haut Aller en bas
 

Au détour d'une ruelle (pv Jed K. Spencer)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Au détour d'une ruelle...[Yaelle]
» Rencontre dans la ruelle [PV Yaelle & Kureha]
» J'vais regretter longtemps d'avoir emprunté cette ruelle sombre et déserte. [Miki H.]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Konoha Gakuen [Next Gen] 2.1 :: Corbeille :: Corbeille :: Corbeille V.3/V.4-