Tiens, j'ai plus mal...
Je suis arrivée ici à Konoha il a un peu moins d'un mois, on m'a accueillit avec beaucoup de gentillesse et grâce au fait que j'aie étudié le japonais chez moi, je n'avais aucune peine à leur parler ce qui en étonnait plus d'un. Dès mon arrivée, on m'a installé dans le campus car c'est la que je vais vivre pendant les prochaines années dans le but de réaliser mon rêve, devenir mangaka. La vie dans le campus pendant les vacances est très calme car mis à par les gens qui sont, comme moi, venu d'un autre pays les autres rentres chez eux pour bien profiter des vacances. En trois semaines j'ai déjà rencontré des personnes mais je ne me suis pas encore lié d'amitié avec l'un d'eux, je dois avouer que ce n'est pas une chose qui me dérange beaucoup car depuis que j'ai déménagé de l'Angleterre je n'ai plus eus d'amis mais qui sait peut-être qu'ici les choses seront différente.
Ce matin je me suis levée bien heureuse car c'est aujourd'hui que l'un des professeurs qui devrait normalement être en vacances a accepté de me montrer l'intérieur de l'école, c'est vrai pour le moment je n'y suis encore jamais allé. Bon, en tant normal je devrais mettre mon training vert claire mais là, je dois sortir donc je vais faire une effort. C'est donc avec un peu de peine que je me suis dirigée vers mon armoire, mon armoire... Dedans il n'y a rien exceptionnel, des T-shirt large délavé, des short deux fois trop grand et des choses qui ne se décrivent même pas. Je continue de fouiller pour trouver quelque chose de présentable et la dessous la pille sans fin de pull je trouve une jupe bleu ciel tout a fait magnifique, je suis tellement heureuse que je vais l'essayer tout de suite, le résultat est tout simplement magnifique, on ne croirait jamais que je suis une fujoshi avec cet jupe. Maintenant plus qu'un T-shirt a trouvé qui ne soit pas trop grand, j'en trouve un très facilement il est blanc et a des petits dessins dessus, je le mets. Je n'en reviens pas, je n'ai jamais été aussi belle que ça et pourtant la seule chose que je dois faire la c'est aller me promener dans une école vide avec un vieux professeur... Ah, l'angoisse numéro deux arrive, mes cheveux ! Mes horribles cheveux qui ne m' obéissent jamais! Une torture d'une heure commence contres mes cheveux, inutile de vous l'expliquer ce serait trop long. Une heure après j'ai quand même réussis à faire une coupe de cheveux normal.
Enfin je sors de chez moi, nous avons rendez-vous à 16 heures et il n'est que midi, je décide quand même de me diriger vers l'université. Même pendant les vacances le bâtiment reste ouvert seulement il est tellement grand que toute seule on risque de se perdre, tant pis à près tout il me reste 4 heures si je me perds j'aurais le temps de retrouver une sortie et pis je suis trop impatiente pour attendre dans ma chambre 16 heure. C'est donc tout heureuse que j'entre dans cet fameuse université pour la première fois de ma vie. C'est grand, c'est beau, c'est désert... J'aime pas les endroits désert ça me rappelle de mauvais souvenir de mon passé. Bon ! Il fait jour je ne vais pas non plus me mettre à avoir peur en plein jour! Au bout de 20 minutes de marche dans ces couloirs je commence à entendre des bruits de pas mais il y a tellement de couloir que je ne sais pas d'où ils viennent, j'essaye de me raisonner mais mes instincts sont plus fort que mon raisonnement. Je ne sais pas si vous avez déjà vu courir une fujoshi est bien c'est très drôle. En tout cas moi je suis sur d'avoir eu l'air très bête. Quelque mètres plus tard, je commence a perdre l'équilibre j'essaye de me retenir de tomber mais trop tard... Je me souviens que ma tête à heurté le sol avec une tel puissance que j'ai du m'évanouir quelque instant car à mon réveille j'entendais des bruits se rapprocher très vite de moi. Malgré un mal de tête sans fin je me suis relevée et je me suis mise a marcher vers une porte sur la quel il était noté ''Infirmerie''. Avec une incroyable volonté je voulais y arriver sans que la personne ne m'attrape. Une mains se pose sur mon épaule et une voix masculine dit:
'' -Est-ce que tu vas bien ? Je t' ai entendu tombée et je suis venu le plus vite possible.. tu m'entends ?...''
J'avais trop mal pour répondre mais je ne voulais pas tombée dans les pommes alors acquiesça d'un hochement de la tête.