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 Une assiette, ça fait mal. Foutrement mal. [Matteo F.]

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MessageSujet: Une assiette, ça fait mal. Foutrement mal. [Matteo F.]   Une assiette, ça fait mal. Foutrement mal. [Matteo F.] Icon_minitimeDim 24 Avr - 17:52

Rp situé légèrement dans le passé, à la fin des vacances.

Apparence d'Haruna pour ce Rp :

Spoiler:

Ah, la fin des vacances ... Tout un paradoxe. Comme tous ceux de mon âge, j'imagine : je déprime à l'idée de retrouver sous peu un rythme scolaire, mais en même temps je suis très heureuse des bons moments que j'ai pu passer avec ceux qui me sont proches. J'ai dû quitter ma ville natale, Kôbe, où j'ai passé la quasi-totalité de mes vacances, pour rentrer à Konoha il y a quelques jours. Enfin, je ne vais pas m'en plaindre : pour me consoler de devoir revenir ici, ma mère m'a généreusement offert l'objet de toutes mes convoitises : ma propre bécane. Une vraie. Une magnifique. Noire. Rutilante. Imposante. Un vrai bonheur, quoi ! Il ne me reste qu'à passer le permis moto, ce que je vais commencer dans quelques jours, et je pourrais enfin aller où je veux, quand je veux, sans subir les désavantages des bus ou du métro.
Me remémorant ces réflexions pour la vingtième fois depuis mon réveil, je poussai un soupir d'aise tout en nouant un ruban orange dans ma chevelure blanche. Après m'être assurée que ce dernier tenait bien en place, je prit la direction de ma petite cuisine (autant vous dire que vu la taille de mon studio, quelques pas suffisaient pour s'y rendre). M'étant réveillée (très) tard, j'avais préféré sauter le petit-déjeuner pour passer directement au déjeuner, l'heure de ce dernier approchant lourdement. J'ouvris mon minuscule frigo et y jetai un coup d'œil tout en bâillant : il ne restait plus grand-chose. Il me faudrait aller à la supérette sous peu, en croisant les doigts pour que j'aie assez pour m'offrir le nécessaire, une grande partie de mes revenus partant toujours dans les sucreries. Je me saisis du peu de nourriture qu'il me restait et commençait péniblement à préparer mon maigre repas : après avoir épluché les légumes, lavé le riz, ce genre des festivités, je plaçai le tout dans une casserole et mis à cuire, pour ensuite partir dans la pièce d'à côté. M'installant sur mon fauteuil favori, j'attrapai mon précieux ordinateur portable et le posai sur mes genoux, chattant avec quelques amis tout en dressant ma liste de courses. Je ne saurais dire combien de temps je demeurai ainsi, une demi-heure, plus peut-être. Toujours est-il qu'après une durée plus ou moins longue, une odeur âcre atteint mes narines tandis que je tapais sur mon clavier. Laissant mon geste en suspens, je reniflais autour de moi afin de définir la provenance de cette odeur. Soudain, mon oubli me revint en mémoire et me fit l'effet d'une gifle : le repas ! Il brûlait ! Paniquée, je bondis de mon siège et dérapais jusqu'à la cuisine, d'où je pus voir une fumée noire et âcre envahir la pièce, provenant de ce qui restait de mon (défunt) déjeuner. J'approchai vivement, éteignit le feu et ouvrit la fenêtre placée pile en face de ma cuisinière pour en faire sortir la fumée. Cette dernière ne s'évacuait pas assez vite et me piquait les yeux, aussi je décidai d'accélérer sa "sortie" et m'emparais d'une assiette qui traînait l'agitai façon éventail devant la fenêtre. La technique fonctionna plutôt bien, à part peut-être jusqu'à ce que l'assiette m'échappe des mains et passe par la fenêtre à la manière d'un frisbee pour s'écraser sur le front d'un jeune homme qui passait, l'assommant proprement. Horrifiée, je me précipitai dehors, pieds nus, m'approchai de l'inconnu que je venais d'assommer malgré moi et me penchai sur lui, sous les rires de quelques passants qui y voyaient là le gag de leur journée. Le problème, c'est que face à quelqu'un d'inconscient, chacun sait qu'il faut lui parler. Alors, bon sang, pourquoi fallait-il que ça m'arrive à moi, muette de naissance ?! Bon, après tout il n'était pas mort, juste assommé. Je n'avais qu'à l'emmener chez moi jusqu'à ce qu'il reprenne conscience, cela me paraissait la seule chose à faire. Réprimant le fou rire nerveux qui commençait à me gagner, je passai les mains sous les aisselles du pauvre garçon et enclenchai la marche arrière pour le traîner jusque chez moi. Je n'avais pas quatre bras, alors ses pieds raclaient le sol, mais bon, je n'y pouvais rien. Une fois rentrée (non sans problèmes), j'étalai le jeune home sur mon canapé, m'affalai sur un fauteuil et me payai une magnifique crise de rire. Il n'y a vraiment que moi pour réussir à faire des trucs pareils ! Le sourire aux lèvres, je tournai la tête vers ma pauvre victime et la détaillai rapidement du regard : une chevelure courte teintée de vert, la frange blonde tranchant sur l'ensemble, vêtements aux couleurs vives ... Y a pas à dire, en plus d'être potentiellement dangereuse, je choisis bien mes victimes. Niarf.


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scénario alakon ! xD
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MessageSujet: Re: Une assiette, ça fait mal. Foutrement mal. [Matteo F.]   Une assiette, ça fait mal. Foutrement mal. [Matteo F.] Icon_minitimeLun 25 Avr - 8:42


Caramels, sucettes, chocolats, chewing-gums, guimauves, pastilles, réglisses, bonbons gélifié, gélatiné et dragéifié…
Voilà toute les sortes de bonbons que Matteo voyait tomber du ciel. Oui oui, du ciel. Par où d’autre voulez-vous qu’ils tombent ces bonbons? Enfin bon… il y en avait aussi de toutes les couleurs. Rouge vert, jaune, indigo, bleu, violet, marron... Vraiment toutes les couleurs! Et ceci, mes chers amis, était le paradis de Matt’. Un paradis qui n’était malheureusement jamais réalité… principalement parce que le jeune vert finissait toujours par se retrouver dans son lit en hurlant après l’apparition de son frère, Etsujirō, dans un déguisement de lapin rose. Bizarre de rêve, mais bon, ceux-ci sont les rêves du vert après tout, il est alors normal qu'ils finissent et commencent toujours bizarrement. Des rêves qu’il fait d’ailleurs à peu près toutes les nuits.
Ce qui nous amène à savoir que ce matin, comme à peu près n’importe quel autre matin, le jeune vert s’est réveillé en hurlant après une nouvelle apparition d’un lapin rose dans ses rêves. Un jour, il finira par développer une phobie pour ces bestioles qui lui ont absolument rien fait. Ce ne sont pas elles à blâmer, mais son frère pervers…

Bref, nous avons maintenant un petit vert d’un mètre soixante-douze assis dans son lit bien douillet au couverture multicolore après un rêve au fin terrorisante. Se grattant la tête en lâchant un bref soupir, il prit tout son temps à se remettre de se rêve et en profita pour jeter un bref coups d’œil à son entourage. Entourage complètement en désordre d’ailleurs. Quelques boites encore intacte du déménagement ressent était empilées dans un coin. Un océan de vêtements propres et salles avaient prit possession du plancher. Des dizaines, non, des millier et des millier de papier, boite et autre d’emballage de bonbon traînaient dans tout tout TOUT les recoins du studio dans lequel le vert logeait. Il faut aussi prendre en note que certains bonbons, comme des sucettes non finit, avait été mit en entreposage sur les murs du studio. Enfin, coller serait peut-être un meilleur terme pour cette situation, malgré qu’il est vrai qu’il les mangera plus tard.
Après un moment d’observation, il finit par se laisser retomber sur son lit avant de rouler sur le côté. Il se laissa alors tomber dans l’océan de vêtement, nageant par la suite, à la recherche de son cellulaire. Cela lui prit une bonne trentaine de minutes avant de remarquer qu’il l’avait posé gentiment sur son bureau d’ordinateur. Le saisissant alors, il enleva quelque papier d’emballage coller après avant de l’ouvrir et de regarder l’heure. Six heures et demi…
MAIS COMMENT FAISAIT-IL DONC POUR SE RÉVEILLER AUSSI TÔT EN VACANCE?!
Ceci restera malheureusement un mystère.

Après quelques minutes à contempler l’heure sur son cellulaire avec un certain mépris, Matteo finit par se relever de sur ses genoux, balança son cellulaire sur son lit, et prit la direction de la cuisine tout en prenant un bonbon coller au mur pour se le foutre dans la gueule. Le simple goût de se bonbon, de cette sucrerie, dans sa bouche lui fit oublier l’heure matinal à laquelle il s’était levé et commença sa routine habituelle. Premièrement, du frigo il sortit des fraises et quelques autres petits fruits qui traînaient à l’intérieur. Après coups, dans un bol, il y mit le tout en le noyant sous un amas de crème chantilly. Tout en dégustant son petit-déjeuner, il commença a farfouiller les armoires à la recherche de bonbons. Au grand des plus grand malheur, il découvrit qu’il commençait à en manquer. Finissant son repas d’une seule boucher, il balança son bol dans l’évier et accoura vers l’océan de vêtement, se mettant à chercher quelque chose à mettre qui semblait propre.
Enlevant son pyjama qui constituait seulement d’une camisole et d’un boxer (qui n’enleva pas d’ailleurs.), le vert prit une camisole orange à bretelle spaghetti, une autre camisole rouge plus grande au bretelle plus large, un chandail à manches longues marron un peu trop grande pour lui, dévoilant alors son épaule gauche, un pantacourt rouge au poche multiple et des bas rayé vert. Après avoir mit le tout sur son corps sublime , il rajouta quelques accessoires tels qu’une cravate de la même couleur que ses bas et quelques barrettes multicolores dans ses cheveux. Enfin habillé, il remplit ses poches de bonbons restant, ou pourrait-on dire encore en vie, et, enfilant ses souliers d’une couleur verdâtre, partie de son habitation, s’assurant quand même de barrer la porte avant de partir.
Direction marchant de confiserie!

Matteo, le petit vert, était maintenant en train de marcher dans une rue avec seulement des bâtiments d’habitation. Bientôt… bientôt il rejoindra le marchant de confiserie avec ses millier de bonbons. Il n’avait que hâte d’y être pour pouvoir acheter, voir même goûter de nouveaux bonbons.
Perdu dans ses rêveries, il commençait à baver, regardant le ciel comme si des bonbons allait lui tomber dessus. Plusieurs passants le regardaient d’un air soit concerné ou bizarre. Continuant de marcher, le vert resta dans ses rêveries jusqu’à se qu’une jeune mère marchant avec sa fille hurle.

« ATTENTION! »

« Quoi - »

Mais cet avertissement ne servit pas à grand chose à Matteo puisque, lorsqu’il se retourna vers la direction que la femme regardait, il ne remarqua qu’un truc de couleur blanche lui fracasser le visage. Cet objet mystère l’avait complètement assommé. Entre la conscience et l’inconscience, il se sentit entraîner dans un endroit quelconque. Pour une quelconque raison, il se sentait comme dans une partie de Cluedo. L’arme du crime était du moins non identifiable, mais nous savions le lieu du crime. Pour se qui est du meurtrier, c’était peut-être celui qui le transportait. Il allait peut-être se débarrasser de son corps, pour que personne ne voit les preuves, sans savoir pour autant que le corps en question était encore en vie. En tout cas, si cela avait été une partie de Cluedo, Matteo aurait gagné vue qu’il pouvait savoir qui était le (son) meurtrier en un seul coups d’œil.

Après un moment entre l’inconscience et la conscience à pensé à une bonne partie de Cluedo qu’il aurait pu faire avec ce qu’il venait de lui arriver, il se sentit déposer sur quelque chose de moue, de confortable quoi. Ce ne fut qu’après un moment, après un combat contre l’inconscience complète, qu’il ouvrit les yeux. Lorsqu’il vit un plafond, il eu le reflex de s’asseoir aussitôt pour voir son entourage mais le regretta. Une douleur atroce attaqua sa pauvre tête. Il posa une de ses mains sur sa tête avant de se laisser retomber sur ce qui semblait être un canapé.

« Mais où est-ce que je suis moi? »

Il remarqua du coin de l’œil une fille qui l’observait. Il la fixa pendant quelque temps, la détaillant du regard : une chevelure de couleur blanche/grisâtre orner d’une boucle orange, ce qui semblait fortement être une robe rayé orange et blanche…

« C’est toi qui ma transporter jusqu’ici? Ma meurtrière? »

Sans s’en rendre compte, il avait ébruité ses pensées. Mais maintenant, il était trop tard pour les reprendre...


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MessageSujet: Re: Une assiette, ça fait mal. Foutrement mal. [Matteo F.]   Une assiette, ça fait mal. Foutrement mal. [Matteo F.] Icon_minitimeMer 27 Avr - 13:48

Spoiler:
« Mais où est-ce que je suis moi ? »

J'entendis soudain une voix légèrement pâteuse briser le silence qui s'était installé dans mon minuscule studio depuis que j'avais allongé ma "victime" sur mon sofa. Il faut plutôt avouer qu'avant même de l'entendre, la voix en question me tira du demi-sommeil dans lequel je m'étais plongée depuis peu. En effet, honteuse d'avoir assommé un parfait inconnu d'une manière aussi ridicule, j'avais décidé de le veiller pour guetter son réveil et m'étais assise sur le fauteuil faisant face au canapé, les genoux remontés contre la poitrine, et plus le temps s'écoulait, plus je piquais du nez. A présent, j'avais ouvert des yeux ronds et fixai le garçon qui venait d'ouvrir les siens ; n'osant pas bouger de peur de le surprendre, je préférais le laisser émerger tranquillement. Je captai un regard en coin de sa part et en déduisit qu'il m'avait remarquée, ce qui s'avéra totalement vrai quand je le vis tourner la tête dans ma direction, me détailler du regard et m'interroger :

« C’est toi qui ma transporter jusqu’ici ? Ma meurtrière ? »

... Meurtrière ? Allons bon, il avait l'air tout à fait sérieux en plus. Je restai quelques secondes indécise, puis je décidai malicieusement de tirer profit de cette situation pour m'amuser un peu. Après tout, c'est lui qui m'avait tendu la perche avec son meurtrière, hein ... Je me forçai à garder une mine sérieuse et sortis mon clavier tactile de ma poche, pianotai dessus et retournai l'écran vers le garçon :

C'est bien moi qui t'ai transporté ici. Il n'y a personne d'autre là-dedans, de toute manière. Et s'il te plaît, je préfère dire "assassine", "meurtrière" est un mot bien trop brut et imparfait à mon goût.

Je décidai d'enchaîner sur une parfaite bêtise, sans vraiment réfléchir, mais cela me démangeait tellement les lèvres (pardon, les doigts) que je n'y résistai pas :

Ne me regarde pas comme ça, si j'écris au lieu de parler, c'est pour dissimuler ma voix. On ne sait jamais, si jamais tu t'avérais être plus résistant que je ne le pensais et que tu survivrais ... Quant à mon visage, c'est un déguisement, donc pas la peine d'essayer de me chercher en s'appuyant là-dessus. Tu connais beaucoup de gens avec les cheveux blancs, toi ? ... Puis de toute façon, la police n'aurait pas grand-monde à rechercher, je disparaîtrais dans la nature une fois ma besogne achevée.

C'est court, j'ai honte >///<
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