Konoha Gakuen [Next Gen] 2.1
Bienvenue à Konoha High School !
Depuis les événements dramatiques de 2011, beaucoup de choses ont changées... Une étrange bactérie du fond des océans vint semer la zizanie et les humains ne sont plus vraiment pareils... La ville de konoha, 25 ans plus tard, sous le signe du chaos et d'un régime totalitaire, venez vivre l'aventure !
Oserez-vous vivre dans un monde où la normalité n'existe plus ?
Konoha Gakuen [Next Gen] 2.1
Bienvenue à Konoha High School !
Depuis les événements dramatiques de 2011, beaucoup de choses ont changées... Une étrange bactérie du fond des océans vint semer la zizanie et les humains ne sont plus vraiment pareils... La ville de konoha, 25 ans plus tard, sous le signe du chaos et d'un régime totalitaire, venez vivre l'aventure !
Oserez-vous vivre dans un monde où la normalité n'existe plus ?



 
Le deal à ne pas rater :
Réassort du coffret Pokémon 151 Électhor-ex : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez
 

 Matsuo Hayashi

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité



Matsuo Hayashi Empty
MessageSujet: Matsuo Hayashi   Matsuo Hayashi Icon_minitimeDim 10 Avr - 20:03

Hellow!
    |~| Fiche de présentation |~|



    ##Informations du personnage##


    • Nom : Hayashi
    • Prénom : Matsuo
    • Surnoms : à vous d'en trouver ^^
    • Sexe : Masculin
    • Orientation sexuelle : hétéro
    • Age/Date de naissance : 19 ans. Né le 8 mars
    • Origines : Japonais. Tokyo.
    • Niveau d’étude : 2ème année de lycée




    ##Physique##


    • Description physique : (4 lignes Mini)
      19 ans, et toutes ses dents. C'est même un miracle le connaissant. Et oui, Matsuo, en bon petit yankee, a tendance à souvent être mêlé à des bagarres parfois plutôt sanglantes. Mais bon, en général, du haut de son petit mètre quatre vingt, il n'a guère de mal à voir venir les coups. En plus, son corps musclé par des années de kickboxing réagit au quart de tour pour parer ou esquiver. Il est tout de même nécessaire de préciser que malgré ses muscles, il reste assez fin, ce n'est pas une armoire à glace soyons bien clair. Bon, en une droite il vous décollera la mâchoire, et vous fera surement perdre une dent ou deux mais du moment que ce ne sont pas les siennes...
      Mais n'allez pas croire que seul ses bras sont musclés, ses abdos sont bien nets et ses jambes suffisamment puissantes pour assommer sans trop de difficulté les poids lourds de la majorité des équipes de football américain des environs.
      Présenté comme ça, on s'attendrait presque à voir un gars avec une tête de brute, la barbe hirsute, le crane rasé, tatoué de tout les cotés, et bien non. Loin du stéréotype de la racaille de rue, il se rapprocherait plus de l'ado moyen qui prend soin de lui. Toujours bien rasé, les cheveux noirs mi longs, parfois tombant sur ses épaules, d'autres attachés en queue de cheval, ou bien coiffés en arrière avec du gel . Parfois, il lui arrive même de garder les cheveux en batailles, comme ça, pour le fun. A vrai dire, c'est la « coupe de cheveux » qui lui va le mieux.
      Son visage, une fois de plus contrairement à ce que l'on pourrait penser, est loin d'être celui d'une brute, quelqu'un qui ne le connait pas, pourrait le confondre avec un acteur.
      Mais, sous ses airs de bon garçon, son corps est couvert de cicatrices et marques en tout genre. La plus visible, c'est une trace de brulure couvrant la moitié de son dos. Mais la cicatrice qu'il hait le plus, c'est la croix barrant son poignet gauche, preuve de sa faiblesse passé et d'une tentative de suicide ratée.

    • Description vestimentaire : Décrire la façon de s'habiller de quelqu'un est très difficile, car à moins d'être dans un manga, il se changera régulièrement. Malgré tout, on peut résumer le style de Matsuo des mots suivant «  simple, classe, mais destroy ». A vrai dire, comme il a décidé d'être un minimum sérieux, il passe son temps au lycée, et porte donc l'uniforme officiel. Pourtant, sa façon de le porter, autrement dit, la veste sur les épaules, sans l'enfiler, la chemise hors du pantalon et de travers légèrement froissée, casque audio rouge et noir autour du cou, en imposent. Quand on le voit, on a pas l'impression qu'il porte un uniforme. Parfois en plus de son sac de cours, un sac des plus simple tout juste suffisant pour ranger une pochette en carton contenant quelques feuilles, une trousse minuscule, ne contenant rien de plus que trois stylos, une gomme et un paquet de chewing-gum, et un des nombreux romans qu'il lui arrive de lire, pour la majorité de l'héroic-fantasy américaine. Enfin bref, un ado normal sur ce point. Je disais donc avant de me laisser emporter, parfois en plus de son sac de cours il porte une housse de guitare, en général simple guitare sèche, il n'a pas le courage après tout de transporter l'ampli qui irait avec une électrique.
      Le week-end, son look varie quelque peu, il remplace les mocassins par une paire de rangers aux lacets rouges, il porte souvent des baggys noir ou militaires, parfois même ornés de clous, une bonne vieille ceinture noire en cuir, un t-shirt noir orné du logo d'un quelconque groupe de punk, un keffieh soit noir et rouge, soit noir et gris, une paire de mitaines cloutées en cuir, et par dessus le tout, un long manteau noir en cuir élimé.
      La seule chose qui ne change pas, c'est le collier qu'il porte au cou, une fine lanière tressée, supportant une petite croix en argent. N'allez pas croire qu'il soit chrétien, bien au contraire. Cependant, ce collier est la seule chose qu'il lui reste de sa mère.




    ##Psychologie##


    • Caractère : Il y a beaucoup à dire sur lui, mais on va continuer ce que l'on a commencé, avec la musique. Comme nous l'avons laissé sous entendre plus haut, Matsuo joue de la musique, principalement de la guitare, aussi bien électrique que sèche. Son répertoire va du folk au rock, en passant par le heavy metal, et ce qu'il préfère, le punk. Ouaip, vous n'avez pas rêvé, son Ipod est rempli de punk en tout genre. Contradictoire me direz vous. Pas quand l'Ipod lui a été offert par un gars friqué à qui il a sauvé la peau. C'est une longue histoire, mais elle n'a aucun intérêt. Toujours est-il que ses écoutes lui ont donné certaines idées pas forcement au goût de la société. Mais pour le moment, il reste calme et ne se révèle pas complètement. Aussi étrange que cela puisse paraître, la majorité des groupes qu'il écoute sont français. Bien sur il ne comprend pas les paroles à l'écoute, mais internet regorge de traduction. Vive internet, YAY!
      Mais bon, ce qui permet le mieux de le comprendre, c'est de se rappeler que durant sa jeunesse il fut victime de harcèlement à un niveau très poussé. A vrai dire, il a failli en mourir à plusieurs reprises tandis que ses bourreaux rigolaient de lui. A l'époque, il avait tenté de se suicider, mais à 12 ans, difficile de souhaiter mourir de façon définitive.
      Mais en dépit de tout ça, son père, homme politique luttant contre l'ijime, ne fit rien pour lui, en bon politocard, il était aveugle à ce qui se passait près de lui. Depuis, Matsuo a vue naitre en lui un dégout à l'encontre de son père, surtout depuis un certain évènement qui sera narré plus tard.
      Heureusement, en changeant d'école, il réussit à surmonter cela et à s'intégrer. Néanmoins ce passé lui a laissé de nombreuses séquelles. A commencer par un profond mépris envers la classe politique, mais surtout une haine farouche contre tout ceux qui prennent du plaisir à martyriser les autres. N'allez pas croire qu'il tentera de discuter, en vérité s'il assiste à tels actes, il serrera les poings, et cognera. La violence contre la violence, voilà son crédo. Vous pourriez croire qu'il est un bon gars, mais ce serait vous mettre un doigt dans l'œil. S'il sort quelqu'un de la merde, et que ce dernier le remercie en chialant, il lui foutra un bon gros coup de pied en lui gueulant d'apprendre à se défendre, et se barrera. Mais bon, parfois, il se laissera attendrir, si la demoiselle en détresse veut lui offrir son corps par exemple. Ou si le fils de bourge veut le remercier en lui offrant un Ipod. Et oui, punk, mais punk à la mode, il faut pas exagérer quand même.
      Il n'en a absolument rien à foutre des cours, et pourtant il est à Konoha. Pourquoi me demandez vous? Mais voyons, c'est bien simple. Foutre le bordel, faire en sorte que cette avant garde de ce putain de capitalisme ferme ses portes. Il va se tenir à carreaux les premiers jours, et ensuite, ce sera « rock'n'roll ».

    • Tics, manies, etc... : Comme pas mal de monde aux cheveux longs, il aura tendance à repousser une mèche rebelle.
      De plus quand il est nerveux il à tendance à tripoter instinctivement son collier seul souvenir de sa mère.
      Petite précision: Il s'est juré de faire payer au centuple ce qu'il a subi à une certaine personne s'il la retrouve.



    ##Biographie##


    • Histoire : (15 lignes mini)


      Ijime.
      Tout le monde l'a entendu au moins une fois. Et tous savent ce que cela signifie. Pourtant, peu le comprennent réellement. La plupart ne l'ont pas supporté, et ont préféré abréger leurs souffrances. D'autres, ont préféré souffrir en attendant de meilleurs jours, d'autres, n'ont tout simplement pas réussir à en finir. Ce fut mon cas. Durant les 6 années que dure l'école primaire, je fus la victime de l'école, toujours à me faire bousculer, insulter, humilier, frappé, les deux premières années ça restait assez « bon enfant » pour aussi loin que je me souvienne. Et surtout, je n'étais pas le seul à subir. Mais au début de la troisième année, une nouvelle débarqua, deux ans de moins que moi, et pourtant, en à peine quelques jour, elle avait à ses pieds toute l'école. Et je devins sa cible de choix. Bien sure, elle ne me faisait rien directement, mais s'arrangeait pour que ce soit les autres qui s'en charge. Cependant un jour, sans savoir pourquoi, elle s'approcha de moi. Je me souviens avoir baissé la tête pour essayer de pas me faire repérer, mais non, elle se planta en face de moi. Bien sure, j'avais peur, des rumeurs circulait que la dernière fois qu'elle s'était arrêté comme ça en face de quelqu'un, cette personne avait finit à l'hôpital.
      Alors que je ne m'y attendais pas, je reçu un coup de genou dans le ventre, et me pliai de douleur. Je ne savais pas ce que j'avais fait pour mériter ça, mais elle devait bien avoir une raison, il était impossible d'être aussi méchant sans raison valable.
      Je me souviens encore qu'elle m'avait roué de coup comme ça, sans raison, puis alors qu'elle s'éloignait, elle avait signe à une fille pas loin d'elle, et cette dernière lui avait amené un briquet. Comment elle se l'était procuré, je n'en savais rien, et à l'époque je n'en avais absolument rien à faire. En y réfléchissant, elle l'avait probablement volé à ses parents. Je me souviens qu'elles m'avaient fait aller dans la cours en marchant à quatre pattes, me frappant chaque fois que je faisais mine de me relever. Je n'espérais même pas que les adultes interviennent, après tout, depuis deux ans, ils ne se bougeait jamais. Au beau milieu de la cours, des mains s'était emparés de moi, et la chef, souriante, m'avait déshabillé me laissant en slip entouré de mes « camarades ». Alors que je me débattais, sa main c'était posé sur mon entrejambe, commençant à serrer. Je criai de douleur. Je me souviens encore de ce qu'elle m'avait dit à ce moment. «  Si tu bouge encore, je te l'enlève. »
      Les autres filles avaient entassé mon uniforme, et avec le briquet, l'avait enflammé. Un coup dans l'estomac me fit tomber à genou, et je sentis la chef de la bande s'assoir sur mon dos. En pleurant, je me rendis compte qu'elle avait attrapé mon collier et tirait, m'étranglant avec. Elle voulait probablement juste me l'arracher, mais je sentais la lanière s'enfoncer dans mon cou.
      Alors que j'avais du mal a respirer, la lanière lâcha. Le collier que ma mère m'avait offert la veille pour mon anniversaire, était maintenant entre les mains de cette fille. Ce qui m'avait choqué, c'était qu'elle avait fièrement annoncer:
      « Oh! Non mais vraiment, c'était pas la peine de me faire un tel cadeau d'anniversaire! Mais puisque tu insiste je le prend. »
      Elle se leva de moi, prit mon visage à deux mains, et s'approcha, un instant je crus qu'elle allait m'embrasser, mais non. Elle recula d'un coup, et me cracha au visage. Dès que je fus seul, je m'enfuis de l'école, et m'enfermai chez moi. Pour la première fois, ils avait été vraiment trop loin, je n'en pouvais plus. Je saisis un couteau, celui que mon père utilisait pour couper sa viande quand on en mangeai.
      Je savais ce que je voulais faire, je serrais les dents redoutant la douleur qui allait venir, tendit mon bras gauche, et m'entaillait les veines avec le couteau, une joli croix bien net. Rapidement, je sentis le sang couler et me demandai ce que je avais fait. J'avais froid, mais en même temps, j'étais bien.

      …..........................

      J'ouvris les yeux, tout était blanc autour de moi. Un instant je crus être au paradis et souris. Puis je tentai de bouger le bras, et une légère douleur se réveilla dans mon poignet. J'étais dépité, car je venais de comprendre. J'avais survécu. J'étais à l'hôpital. Doucement, les larmes coulèrent sur mon visage. Je tournai la tête sur le coté, et vit une enveloppe. En la prenant, je fis tomber quelque chose qui émit un bruit métallique en touchant le sol. Je me penchai pour voir ce que c'était, et fus surpris de trouver le collier que ma mère m'avait offert. Qu'est-ce qu'elle faisait là?
      Pensant trouver des informations dans la lettre, je la dépliai et la lut.

      Citation :
      Matsuo,
      Nous sommes désolés, on ne voulait pas te faire de mal. On pensait juste s'amuser. Mais c'est vrai que Miki est allé trop loin la dernière fois. On te promet d'arrêter.
      S'il te plait excuse nous.

      Le message étais signé par la majorité de la bande qui s'en prenait à moi depuis des années. J'étais agréablement surpris qu'ils se soient rendus compte du mal qu'ils m'avait fait. Visiblement, ils avaient du réussir à convaincre Miki de me rendre mon collier.
      D'un coup mon avenir s'éclairait.
      Quelques jours plus tard, je retournai à l'école. J'étais content d'avance de savoir que tout allait être paisible. Pourtant, on me fuyait, ma table était couverte d'insulte, des punaises sur ma chaise. Rien n'avait changé. Heureusement l'année scolaire allait se finir dans quelques jours. Je supportait tout ça une semaine, et suppliait mon père de m'inscrire dans un collège loin d'ici. Par chance, je réussi.
      J'avais décidé de pas être une victime dès le début. Les cours au collège commencèrent quelques semaines plus tard, et tout se passa bien. Je réussi même à me faire quelques amis. Pourtant, j'étais méfiant, je craignais que ça recommence.

      Quelques jours avant le Noël de mes 13 ans, ma mère et moi prirent la voiture pour aller faire les achats pour les fêtes. Une dizaine de minutes après avoir démarrés, les freins lâchèrent. Ma mère ne réussit pas à éviter le camion. Il nous percuta de plein fouet. Ma mère eut le réflexe de me couvrir de son corps. Je sentis une vive douleur me vriller le corps, puis ce fut le vide.

      …..............

      Le vide. Ni noir blanc. Impossible a décrire, le néant. Calme paisible, et pourtant violent. Empli de haine, et de souffrance. De joie et de plaisir. Tout et rien à la fois. Et pourtant, je suis la, au milieu de tout, je sais que mes yeux sont fermés, pourtant, je vois. Inlassablement défile mes yeux aveugle ma vie passée, mes souffrances, mes désirs. Doucement, tout prend forme dans ce néant. Plus je m'en souviens, plus le néant cède sa place o un paysage bien trop familier. La cours de l'école le lendemain de mon anniversaire. Je revois et revit cette scène, encore, et encore. Plus je la revis, moins je la subit. C'est une étrange sensation. Je sais que les coups de pied me frappe, pourtant, je n'ai pas mal. D'un coup, cette sensation de vide est remplacé par une vague de plaisir. Je n'ai jamais rien ressenti de tel. Serait-ce ça l'enfer?
      Jamais je n'ai ressenti de plaisir à me faire frapper et humilier comme ça. Pourtant, d'où vient cette sensation?
      Soudain je comprend. Au fond de moi, tout à continué car pour moi c'était devenue une sorte de seconde nature. C'était devenue normal, sans ça j'étais perdu. Non Je ne pouvais pas être fou à ce point. Je ne pouvais pas avoir aimer ça.

      D'un coup, je me vis entrain de me frapper moi même, et à ce plaisir venait se mélanger la culpabilité de faire subir ça à ce pauvre corps. Je regardais mes pieds, et vit les jambes de Miki. Je me voyais en elle, savait ce qu'elle pensait à l'époque.
      Puis je me retrouvait dans un autre corps, le plaisir cette fois remplacé par la peine, je compatissais avec la victime, mais n'osait pas bouger de peur de subir à mon tour.
      Peu à peu, ne cessant de changer de corps, je ne savait plus qui j'étais, ni ce qui se passait. Je me perdais, et me fondait dans la masse. J'étais quelqu'un comme un autre. J'étais tout. Je n'étais plus.


      Réveille toi!

      La voix retentit dans mon esprit, et dissipa les images. J'avais l'impression de surplomber la scène qui apparaissait devant moi. La victime de tout à l'heure avait relevé la tête.

      Relève toi!

      CObéissant à l'injonction de la voix, le corps se redressa, et sembla vieillir en un instant. C'était maintenant un adolescent d'environ 17 ans et fier de lui. Il serra les points, et commença à se débarrasser des harceleurs. Doucement, mais surement, il avançait vers la leadeuse terrorisée.
      Je savais ce qu'il avait en tête, il voulait se venger de tout ce qu'elle lui avait subir. Ce qu'il faisait je le pensai.

      Deviens toi!!

      D'une main, l'adolescent attrapa la collégienne au cou, et pendant ce temps, je descendais droit sur lui. Je voyais ce qu'il voyait, savait ce qu'il pensait. Je sentais les muscles bien entrainé de nos bras, et la haine bouillonnante n'attendant qu'a se déverser.

      Réveille toi! Relève toi! Deviens toi!!

      La voix tonna dans mon esprit, brisant l'illusion.

      …...............

      J'ouvris les yeux d'un seul coup. Autour de moi se trouvait des hommes en blouses et mon père. J'avais soif, faim, et j'étais épuisé. Je n'entendais rien, mais je voyais ce qu'il se passait autour de moi. Les médecins s'agitaient tout autour, visiblement, ils étaient surpris. Quelque chose s'était passé qu'ils n'avaient pas prévus. Je vit mon père me tourner le dos et partir. Sans un mot.
      Je restai complètement silencieux, incapable de parler pendant une semaine. Entre temps, mes autres sens était revenus, et je pouvais un peu bouger.
      Dès que j'avais put entendre, un médecin était venu m'expliquer que la voiture de mon père avait été saboté, et alors que seul ma mère et moi étions à bord, les freins ont lâché. Un camion nous à percuté, tuant ma mère sur le coup, et m'envoyant dans le coma. J'étais resté dans le coma durant un peu plus d'un an.
      Étrangement, je ne versai pas une larme, je l'avais déjà compris. Pourtant au fond de moi bouillait une haine. Je m'étais juré de faire payer à mon père le décès de ma mère. Le sabotage le visait lui. Pas elle.
      Dès que j'entamai la ré-éducation, les médecins furent étonner de voir la vitesse à laquelle j'avais repris des force. En à peine un an, j'étais plus musclé qu'avant l'accident.

      Quand je sortis de l'hôpital, je réussi à convaincre mon père de m'inscrire dans un club de kick-boxing. Étonnamment, il accepta. Peut être se sentait il responsable.
      Toujours est-il que j'entrais au collège avec deux ans de retard. Pourtant, je n'eus aucun mal à m'intégrer.
      Le temps passa, et je passai pas mal de temps à trainer en ville, me mêlant à de nombreuses bagarres de bandes.
      Puis vint le lycée, Je vivais la vie que mon père voulait de moi, et cela n'allait pas. Je lui demandai de me faire transférer à Konoha gakuen. Il fut surpris, et je dus inventer un mensonge. Je pris comme excuse que le lycée ou j'étais avait un niveau bien trop bas, et que jamais je ne pourrais entrer à Todai avec des profs pareil. Au début, il fut réticent, mais devant mon insistance, il finit par céder, mais à la condition que je sois en internat. J'acceptai.
      J'allais pouvoir commencer à prendre ma revanche.


    • Famille :

    • mère: Fuyuka Hayashi
      La mère de Matsuo est morte dans un accident de voiture alors qu'il avait 13 ans. 6 ans ont passé et il ne se souvient que peu d'elle, pourtant, il sait que c'était la seule personne à être inquiète pour lui.
      Dans ses souvenirs, c'était une très belle femme, répondant aux standards de la beauté japonaise. Et seule ombre au tableau à ses yeux, elle était chrétienne.
    • père: Junji Hayashi
      Son cher père (ironie), la personne qui compte le plus pour Matsuo (irony again), est comme il l'appelle un « politocard ». Un vieil imbécile qui se gargarise de ses idées stupides. Plus de la soixantaine, veuf, et pourtant il passe ses nuits avec à chaque fois une nouvelle fille, de préférence jeune, et bien roulée. Il y'a 10 ans, quand Matsuo était à l'école primaire, son père passait régulièrement à la télévision pour dénoncer l'ijime. Il était tout fier d'annoncer qu'il avait proposé un projet (irréalisable) pour lutter contre ce fléau. Mais cet abruti ne se rendait même pas compte que son fils était victime de ça, et prenait ses plaintes, comme les caprices d'un gosse.
      Mais bon, il avait beaucoup d'argent, et sur ce point, il n'avait aucun mal à faire changer son fils de secteur pour aller au collège, ni même à le faire admettre à Konoha.



    |~| In real life |~|


    • Prénom : (Facultatif) Florian (et oui, c'est très classique)
    • Age :  (Facultatif) 18
    • Serez vous actif ? : 4/10 et si j'accroche bien au forum 8/10
    • Par qui ou comment avez vous connu le forum ? : Miki.
    • Avez vous lu le règlement ? : Tante Dothy Valide
    • Petite précision: c'est mon premier forum rp qui n'est axé héroic-fantasy etc.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité



Matsuo Hayashi Empty
MessageSujet: Re: Matsuo Hayashi   Matsuo Hayashi Icon_minitimeDim 10 Avr - 20:19

Welcome!

Comme c'est bon de lire une fiche pareille... Tu viens de faire monter mon moral rp ~
Bref, Mon brave petit loup, Tante Dothy te valide.

Si tu es en manque d’action, viens voir taty, je te ferais une petite place dans ma troupe~

Bon rp à toi!
Revenir en haut Aller en bas
 

Matsuo Hayashi

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Konoha Gakuen [Next Gen] 2.1 :: Corbeille :: Corbeille :: Corbeille V.3/V.4-