| Sujet: Cours du Dr Takano (Médecine) Dim 21 Fév - 3:14 | |
| Bachi arriva à la fac et gara sa moto dans le parking réservé au prof, il mit l'anti-vol et prit son casque et son sac. Il passa par la salle des professeur en vitesse pour se préparer, et déjà, dans les couloirs commençaient à résonner le chant de ses élèves, les chansons paillardes résonnaient dans la fauculté de Konoha, pour clamer leurs joie de vivre et leurs impatientes.La digue du cul en revenant de Nantes La digue du cul en revenant de Nantes De Nantes à Montaigu la digue la digue De Nantes à Montaigu la digue du cul !
Lève la jambe, voilà qu’ça rentre Lève la cuisse, la cuise, la cuisse Voilà qu’ça glisse Lève la jambe, voilà qu’ça rentre Lève la cuisse, la cuise, la cuisse Voilà qu’ça glisse Oh ! Hisse
La digue du cul sur la route de Nantes La digue du cul sur la route de Nantes De Nantes à Montaigu la digue la digue De Nantes à Montaigu la digue du cul !
Lève la jambe, voilà qu’ça rentre Lève la cuisse, la cuise, la cuisse Voilà qu’ça glisse Lève la jambe, voilà qu’ça rentre Lève la cuisse, la cuise, la cuisse Voilà qu’ça glisse Oh ! Hisse Oh ! Hisse Oh ! Hisse Oh ! Hisse Oh ! Hisse Oh ! Hisse Bachi traversa les couloirs en écoutant la chanson, et lorsqu'elle s'arrêta, il entra dans la régie qui projetait parfois les diapositives de ses cours. Il salua le projectionniste et lui annonça qu'aujourd'hui c'était Anatomie, donc pas de diapo. Il mit sa blouse et son micro, et entra dans l'Amphi. Dès que les élèves le virent ils se levèrent pour scander l'hymne portugais, qu'il faisait à chaque fois, en rapport avec l'origine de Bachi.Heróis do mar, nobre Povo Nação Valente, imortal.. Levantai hoje de novo O explendor de Portugal !
Entre as brumas da memória, Ó Pátria, sente-se a voz Dos teus egrégios avós, Que há-de guiar-te à vitória !
Às armas, às armas ! Sobre a terra, sobre o mar. Às armas, às armas ! Pela Pátria lutar Contra os canhões marchar, marchar ! - Bonzoir lé élévos !La petite blague fit rigoler le peu d'étudiant présent, en effet, il semblait ne pas y avoir beaucoup de monde. Ce qu'il fit remarque à voix haute.- Bon, ya pas grande monde ... pour une fois ...- DEUX FOIS ! Trois fois ! Quatre fois ! - Nan arrêtez !Cinq fois ! Six fois ! Cette fois ça y est, je sens bien qu’tu me l’as mise Ce n’est plus ton p’tit doigt qui m’chatouille, Je sens à travers ta chemise La douce chaleur de tes deux couilles A Poil !
Ton doigt n’était pas si mouillé - pas si mouillé Et ta main ne battait pas la cadence Maint’nant c’est bien plus régulier Ah nom de dieu, Ah nom de dieu Quelle jouissance !
Bite au cul Bite au cul Bite au cul Zob ! Zob ! Zob ! Youuuuuuu... Les élèves se calmèrent enfin, et Bachi plaçait ses cours devant lui.- Bien, commençons ! |
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