| Sujet: Itaru Li ; Jumeau & Obsessif Jeu 14 Oct - 14:32 | |
| |¤| LI Shaolan Itaru |¤|
| [I.D
- Nom : Li
- Prénom : Itaru
- Surnoms : À part qu'il demande toujours de se faire appeler par son nom de famille...
- Sexe : Masculin... OU PAS *paf* Oui oui, masculin
- Orientation sexuelle : Incestueuse... mais reste pour le moins inconnue.
- Age/Date de naissance : 18ans / 1er Avril
- Origines : Chinoises & Japonaises, originaire de Hong Kong (la ville du smog xD)
- Métier : Gendarme & Assassin
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''Regarde celui-là, il est plutôt mignon!'' ''Ah non, moi il me donne la chair de poule... tu as vu ses yeux?'' ''Et alors? Vairons, c'est plutôt sexy, non?'' ''Non, je veux dire son attitu... il regarde par ici!'' ''... je pense qu'on devrait y aller.''
Lorsque l'on regarde une personne, c'est toujours son attitude que l'on verra en premier. C'est ce que l'on différencie des dragueurs, timides... et sadiques. Ce grain de folie malgré l'attitude toujours apparemment contrôlée, calme et maligne d'Itaru fait en sorte que peu sont ceux qui veulent s'approcher de lui en dehors des idiots 'gentils'. N'importe qui qui le regarde aura malgré tout cette certaine marque de respect de par soit son badge dans sa poche ou son uniforme de gendarme. Itaru soigne beaucoup son apparence, il se rase, coupe ses ongles, lave ses vêtements... son air de beau brun ténébreux le rend très attirant pour la majorité des femmes adultes, qui ne sont pas aussi peureuses que les jeunes étudiantes adolescentes. Mesurant exactement un mètre quatre-vingt trois, Itaru, grâce à ses entraînements quotidiens, a gagné beaucoup en masse musculaire depuis le fameux jour où il changea totalement d'identité. Pesant soixante-huit kilogrammes, le jeune homme a de très fortes capacités physiques mais reste sous-estimé à cause de son apparence plus ou moins frêle avec certains vêtements et de sa silhouette élancée. Ses traits fins accentuent le côté gentleman, élégant et classe que peut dégager le tueur lorsqu'il est de bonne humeur. Athlétiquement parlant en dehors de sa force, Itaru possède une bonne vitesse, plus haute que la moyenne depuis ses petites années qu'il a perfectionné. Bref, il est fait pour son travail, qui met toutes ses compétences physiques en valeur. ... et en fait cela lui donne un très bon succès avec les femmes. "Hey, Itaru!" "..." "T'as dormi chez la jolie blonde avec qui t'as parlé hier et t'as pas pu avoir de vêtements de rechange, hein? Sacré Ita'!" "... non." "Non quoi?" "J'ai plusieurs vêtements comme ça. Six de chaque item au moins." "..." Comme vous l'aurez deviné, Itaru a un code vestimentaire très strict. Ayant toujours ainsi été vu sa famille traditionnelle chinoise, comme à la majorité des adolescents qui deviennent plus "libertins" lorsque les parents ne les voient pas, le jeune homme est, au contraire de ce que vous pensez, lui aussi très libre de sa garde-robe. Le simple fait est qu'il préfère les vêtements de style élégant, qui ont comme dit les djeunz "la classe". Au style d'un James Bond en pleine mission, l'escrimeur porte ses tenues plus ou moins ajustées, jamais froissés et que les adolescents portent habituellement lors de fêtes et évènements spéciaux. Donc comme vous l'aurez compris, Itaru est loin de porter des t-shirts noirs ou de plusieurs couleurs, en fait il n'en a que pour les travaux comme repeindre sa maison. Pourtant, le gendarme n'hésitera pas à porter des jeans ou une paire de baskets propres de tous les jours lors de ses congés et malgré tout, peu importe son habillement, Itaru bougera toujours comme s'il était en jogging! Malgré ses troubles obsessifs, il n'a en rien l'air d'un maniaque, juste d'un jeune homme froid et distant.
"T'as vu ça, Itaru? Le Violeur aux Roses a été retrouvé mort, les parties génitales et les deux mains coupées..." "Oui, le bureau n'arrête pas de s'agiter, alors qu'on est qu'à peine une heure après l'incident..." "En tout cas, suis sûr que tout le monde sera d'accord avec moi qu'il le méritait, celui-là! Violer 10 femmes et adolescentes et s'en tirer car il est très haut placé... un vrai scandale quoi!" "Oui... je suis parfaitement d'accord avec toi." "C'est bien la première fois que je te vois sourire comme ça, j'aime! ... c'est même un peu flippant."
On a toujours dit que des jumeaux restaient liés peu importe les évènements. Pour Itaru, cela est très différent. Il sent aujourd'hui une obsession malsaine envers son frère jumeau Shaolan et par ce fait même il ressent une totale indépendance à ce dernier en tant que frère, cette pensée envers ce dernier devient plus comme un désir tout aussi peu catholique que l'on ne le pense ou même pire. Cette envie brutale de vouloir son frère de façon complètement différente à d'antan fait en sorte qu'il est violent et sadique à faire du mal aux autres. La société est trop grande, remplie de malfrats de toute sorte et même que les prisons débordent! Tout cela, toutes les sécurités misent en place l'empêchent de 'le' voir, celui qu'il aime, ou qu'il pense aimer, alors qu'en fait c'est bien loin d'être un amour pur et simple. Si Itaru a décidé d'aller dans les forces de l'ordre, ce n'est pas comme plusieurs à cause des jeux vidéo violents de gangsters, comme quelques-uns par un sens de la justice ou une envie d'action. Non, c'était pour avoir accès à tout, privilégié dans les dossiers, Itaru a accès à plusieurs faits sur les Japonais de Konoha et ses petites régions environnantes. De plus, il peut faire déguster à ceux qui veulent briser l'équilibre social ce qu'ils méritent. Juste la limite de la violence permise, même un peu trop exagérée, penser qu'il se relève avec une arme permet bien d'utiliser une deuxième fois un teaser...
Côté amoureux, le jeune homme n'a pas vraiment d'intérêt. Ayant eu maintes amantes et même quelques amants, le jeune homme ne voit aucunement pourquoi deux personnes voudraient rester ensemble tout le temps, il a besoin de constamment changer, ce qui rend son état plus instable, mais il en demeure très populaire auprès de ses collègues et connaissances qui le voient tout le temps au bras d'une jolie fille ou pour les homosexuels, d'un séduisant garçon.
S'il a l'air gentil par les services qu'il rend à presque n'importe qui qu'il juge correct et qui suit bien les règles émises par le gouvernement japonais, Itaru ne le fait jamais par envie, mais par éthique. Cela ne se verra pas dans son visage placide, mais il se fera -pardonnez-moi l'expression- profondément chier à vous aider à déplacer vos meubles que vous venez de recevoir, par exemple. Si quelqu'un pleure, il restera là à l'épauler par obligation que lui fait son coeur qui tente en vain depuis des années de lui dire qu'il lui en reste un mais Itaru ne voit que ses objectifs, des faits et des faits, jamais des paroles ne l'atteindront. Il y avait trop de paroles dans sa vie mais aucun mouvement porté... c'est lui qui ferait bouger les choses, contrairement à tous ces idiots que l'ont nomme "Homme moderne".
En tant qu'assassin, Itaru prend plaisir à tuer ceux qui le méritent et n'hésite pas à accepter des paiements de victimes qui n'ont pas eu un procès juste. Le sourire qu'il affiche est rempli de satisfaction, sans pour autant tomber dans la folie furieuse. Méticuleux, il sait comment brouiller les pistes, gagnant en expérience à chaque meurtre, passant du plus préparé au plus imprévu mais toujours sans laisser de traces. Aucuns connus officiellement... ...
La vie d’Itaru fut paisible, une enfance presque parfaite avec pour seul bémol, un frère jumeau ayant le même nom que lui, qui se prenait un peu trop libertin et ne semblait pas tant comprendre à quel point les deux étaient choyés par la vie. Pourtant, un détail le troublait depuis qu’il fut né, c’était qu’une personne ait les mêmes caractéristiques que lui, lui ressemblait en tout point et fasse les mêmes choix que lui. Du coup, la comparaison était toujours un facteur qui venait lorsque l’on était jumeau et Itaru en avait une profonde aversion. Si bien qu’une haine sans remords vint hanter le garçon aux yeux vairons toute sa vie, une haine pourtant si aimante qu’il en avait presque mal parfois et c’est jour-là, il n’avait qu’à se blottir contre son frère, qui le regardait avec des yeux immensément tendres et c’est là que finalement, Itaru comprenait qu’il l’aimerait toujours, ce frère qu’il détestait tant… jusqu’à la fin. La haine et l'amour sont si proches. La passion nous charrie sans ménagement de l'une à l'autre. La haine serait-elle donc la plus violente, la plus exacerbée des formes de l'amour ? - Hélène Rioux Si les garçons eurent quelques rougissements de la part de petites filles de leur âge, chacun était trop tête en l’air pour s’en apercevoir. Itaru ne savait pas ce que pensait son frère car il n’en voyait pas l’importance, il ne voyait que lui et ne voyait pas ce que cela signifiait lorsqu’une personne du sexe opposée voulait jouer avec lui timidement. La seule qui le marqua… ce fut Sakura. Dès qu’il la vit, il sut, même s’il ne le remarqua pas tout de suite, qu’il l’anéantirait. Immédiatement le rouge lui vint aux joues lorsqu’elle leur adressa la parole et en un regard quand ses grands yeux émeraudes croisèrent les siens, une grande haine beaucoup trop similaire à celle de son frère Shaolan se dressa. Itaru n’avait-il aimé les gens en dehors de ses parents que par de la haine? Lors de ses parties de Go avec son père les très rares fois où il ne se trouvait pas avec Shaolan, car même par leur très fort lien, les deux garçons ne pouvaient rester vingt-quatre heures sur vingt-quatre ensembles, Itaru ne ressentait qu’une étrange exaltation à rire avec son paternel. Par contre, il ne connaissait pas vraiment sa mère lorsqu’il y pensait… elle était discrète et douce, mais pas extravertie pour deux sous malgré le fait qu’elle soit maladroite ce qui, selon son père, était adorable. Les années passèrent et Sakura fut toujours aussi présente. La « haine » qui était en Itaru grandissait chaque jour mais il était toujours souriant, profitant de la vie. À la puberté par contre, ce sentiment fut si intense, qu’il n’en pouvait plus. Refusant ses envies meurtrières, son père lui conseilla en remarquant chez lui un stress étrange, de l’initier à l’escrime. Étant un sport demandant beaucoup d’entraînement, Itaru ne put ne pas entraîner son frère dans cette discipline, que les deux adolescents adoptèrent immédiatement par l’adrénaline des réflexes et de l’agilité demandée. Puis tous les jours, Itaru regardait sa lame de combat. C’était une vraie lorsqu’il s’entraînait chez lui soit avec Shaolan ou son père, ce dernier depuis semblait s’éloigner de lui. Il n’arrêtait pas de lui dire de prendre exemple sur son frère, de ne pas laisser les émotions lui faire perdre sa concentration… Et à chaque fois le sabre du garçon semblait briller de plus en plus à la lueur des lampes. Ce n’est qu’un jour où Itaru sécha les cours. Il était parti très tôt le matin avant que son frère ne se réveille de leur chambre qu’ils partageaient depuis tous petits. * Pendant un cours instant, je me suis penché au-dessus de son visage et… je n’en en ai pas eu la force. Je savais que je ne pourrai plus jamais le revoir de la même façon… *Ne se posant pas de questions, ce dernier partit en cours, la confiance régnait parfaitement… il avait trop confiance en son jumeau aux yeux vairons. Itaru alla cogner à la porte de Sakura, il tremblait d’une étrange sensation. La jeune fille ouvrit la porte et vit son meilleur ami. - Shaolan..?Pensant qu’il n’allait pas bien, elle le fit entrer. Une action qui lui coûtera cher… Nous aimons mieux mourir chaque heure de la crainte de mourir, que mourir une fois. - William Shakespeare Shaolan, pendant ce temps, étudiait comme si de rien n’était, ressentant probablement un certain vide à ce que les deux personnes qu’il chérissait le plus au monde ne soient pas à ses côtés. Pourquoi n’as-tu pas compris plus tôt, Shaolan? J’avais besoin de toi… … tant besoin de toi.Sakura prit Itaru dans ses bras et commença à lui caresser les cheveux, chose qui n’aidait tout de même pas le garçon, qui serrait de sa main droite son sabre, tellement que ses jointures en étaient rougies. Il lui expliqua tout, absolument tout. À quel point il souffrait, à quel point c’était dur, cette folie en lui… il allait la prendre pour un maniaque sûrement, avoir peur de lui, car c’était ce qu’il était après tout. La jeune fille le regarda tendrement. Itaru ne pouvait dire ce qu’elle pensait et aurait tout fait pour le savoir, elle était très importante pour lui, autant s’il la détestait, puis la sérénité revint sur le visage du garçon, qui ne put s’empêcher de s’endormir, épuisé mentalement. Dès qu’il se réveilla, Itaru remarqua qu’il y avait du sang sur les murs, un peu partout. Certains meubles étaient renversés et il remarqua qu’il avait été blessé. Avant de commencer à chercher ce qui s’était passé, Sakura arriva, toujours aussi souriante, quelques marques de griffe sur la peau. - Qu’est-ce qu’il y a, Shaolan?Elle avait dit ça avec une voix si attendrie qu’il en avait presque oublié ce qui était autour de lui. Cette maison si chaleureuse venait de se transformer en véritable chaos sanglant! Immédiatement, le jumeau se leva et attrapa la jeune fille par les épaules, le regard plein d’inquiétude. - Qu’est-ce qui s’est passé?! Pourquoi… ce…, il en eut presque un haut le cœur par cette réalité frappante, tout ce sang, Sakura..?- Mais de quoi parles-tu, il ne se passe rien, ici.La fleur de cerisier émit un rire coquin, tout à fait innocent. Il n’en croyait pas ses yeux, était-ce son esprit qui jouait des tours et Sakura qui essayait de le réconforter ou était-ce cette possibilité qu’il refusait de se dire... que Sakura, sa Sakur -non- LEUR Sakura était en fait, folle? Quel avait été l’impact sur ce qu’il lui avait dit? Quand il y pensait, Itaru n’avait jamais vu les parents de la fille qu’il aimait… qu’est-ce qui se passait, ici? La haine descendait de plus en plus, il ne l’aimait étrangement plus, d’un coup, sans crier gare. Quelle chose étrange l’amour était… à moins que cela ne soit pas vrai. Le vrai amour du jeune homme serait-il… - Shaolan?Il sortit de ses pensées. - Shaolan, abats-moi.- … HEIN?! Quoi?!- Je sais que je ne vais pas bien… depuis longtemps… pas bien… pas bien…Itaru cligna des yeux. Un soudain sentiment de vide s’installait en lui au fur et à mesure des choses. - Tu n’es plus Shaolan… mon Shaolan… comment… comment je pouvais faire face à ça? Shaolan… Shaolan… je t’ai fait… du mal…- …- Qui… qui êtes-vous?- ET TOI ALORS?Le garçon attrapa son fleuret et… en un seul coup… visa le cœur. Pourtant, cela avait plutôt perforé le poumon de Sakura, qui commençait à se remplir de sang. Durant sa souffrance, le fait qu’elle n’arrêtait pas de murmurer empêcha Itaru de l’abattre ou de faire quoi que ce soit. Totalement désorienté, le garçon, la tête basse, ne comprenant pas exactement ce qui venait de se passer, sortit en courant lentement de la maison. N’arrivant pas à ouvrir la porte, il la défonça brutalement et le bruit eut un écho dans le quartier, mais personne n’entendit. L’objet d’entrée craqua alors que le vent l’entraînait toujours à se cogner contre son cadre. Ironiquement avec ce moment tragique, la pluie commença à tomber. Itaru se sentit soudainement lavé de tout pêché, bien que, étrangement, aucun sentiment ne vint à lui à part… l’euphorie. S’étant rapidement caché dans les ruelles sombres de Hong Kong, le jeune homme laissa passer un rire discret, que seuls ceux dans la ruelle pouvaient entendre, mais il était seul. Un rire joyeux, soulagé, et fier de ce qu’il avait accompli, enfin, elle était partie. Ses soucis étaient tous réglés! Mais finalement, pourquoi avait-il fait ça? Ses yeux s’exorbitèrent, mais il se calma dès qu’il entendit une voix qui le fit sourire de façon narquoise. - SHAOLAN!!!Ah, il en eut un frisson de joie, juste à voir le corps ensanglanté de Sakura, sans vie, molle. Son regard neutre traversa celui de son jumeau, il s’empêcha d’aller le serrer dans ses bras tant il en sentait l’euphorie, son frère le tuerait sûrement. Voyant qu’Itaru ne répondait pas, Shaolan se fit plus insistant. - POURQUOI L’AS-TU TUÉE?! RÉPONDS-MOI!!Bizarrement à ce même instant, Itaru comprit pourquoi. À la source, pourquoi ce dilemme lui avait été posé dès le départ. Pourquoi n’y avait-il pas pensé plus tôt… maintenant que c’était fini, tout était très clair… que?! Shaolan, aussi armé de sa propre arme de blanche, fonça sur le meurtrier en hurlant. Ce dernier, prit par surprise, évita de justesse et eut le combat de deux sentiments distincts : La joie intense et folle, contre la tristesse et la colère. Les deux garçons sur l’adrénaline, ils étaient plus actifs et cela prit beaucoup de temps avant qu’ils ne ressentent la fatigue. Itaru, voyant une ouverture, frappa son frère sans pitié à l’œil et la pointa, lorsqu’il fut à terre, de son sabre, l’air méprisable. - Tu veux vraiment savoir pourquoi je l’ai tuée..?Sa lame se rapprocha de quelques millimètres, mais Itaru savait bien qu’il ne pouvait pas abattre son frère… pas lui. - C’est simple… elle occupait toutes tes pensées, alors je l’ai… éliminée.Il s’y attendait, mais fut tout de même surpris par la réaction si violente de son jumeau, aussi blessé fut-il. - C’est une blague j’espère... je ne peux pas croire que tu as tué Sakura simplement parce qu’elle était proche de moi et... de TOI AUSSI !!! Comment… COMMENT AS-TU PU !!! JE TE HAIS !! DISPARAIS !!!!!Le quitter? Lui? Non… Shaolan pourquoi ne comprenais-tu pas ma souffrance? Toi qui avait toujours su me faire sourire auparavant… Mais il l’avait mérité. Et il le savait. C’était sa punition. Pour avoir ramener la paix. Itaru baissa la tête et dit solennellement : - Bien… je m’en vais mais si tu veux me tuer… un jour… viens me regoindre au Japon…Maintenant qu’il n’avait plus son frère, à quoi lui servait-il de vivre? Le jeune homme se disait que la colère s’atténuerait peut-être et refoulant une larme, il partit, attendant l’espoir qu’un jour, Shaolan, celui qu’il aimait, puisse le pardonner. Pendant un certain temps, Itaru se fit un nom dans les gang du pays et même la mafia. Faisant des crimes sanglants par-ci par-là, il se refusait de tuer des gens qu’il jugeait innocents, caprice qui énervaient certains mais on refusait de l’affronter. Malgré son jeune âge, il réussit à se faufiler dans cette pègre organisée et put aller au Japon en détournant les Douanes et autres nécessités via un haut placé néonazi que le garçon réussit à duper. Dès son arrivée au Japon, Itaru fut logé et nourri dans un appartement avec l’argent illégal amassé au cours des mois. Dès qu’il entra à la police via ses prouesses même s’il était jeune, il fut rapidement gradé gendarme, où il pouvait même contrôler certains de ses collègues en « unités ». Il se vit acheter une propriété pouvant accueillir trois personnes à lui tout seul et resta assassin illégalement, demandant beaucoup d’argent à ses clients et jugeant si oui ou non telle affaire en valait la peine, même s’il pouvait assassiner de temps en temps à son compte. Immédiatement depuis sa promotion, il tua le néonazi sans qu’on ne puisse le retracer par la suite. Mais dans tout ce quiproquo… il attendait… quelqu’un… qui lui était cher. --- Pourtant, la vérité est difficile à trouver. C'est dans les yeux de deux garçons que vous avez vu cette histoire et leurs opinions ne peuvent pas toujours être vrais... HARUNO Sakura Mère d'Itaru et de son jumeau. Il n'a qu'en elle un souvenir doux, aimant et compréhensif et espère ne plus la revoir, pour que cette calme pensée reste la même...
LI Shaolan Père d'Itaru et de son jumeau. Même s'il n'a jamais compris pourquoi il avait le même nom que lui -le pourquoi il changea de prénom en plus de ne pas vouloir être retracé-, le souvenir de son père est d'un homme sage et père de famille ainsi que mari modèle, dévoué à sa femme.
LI Shaolan Jumeau d'Itaru. Son seul souvenir était ce regard plein de tristesse, de colère et d'incompréhension qui à sa simple pensée, lui donne cette sensation d'amour si incompréhensible. Et, si Itaru ne s'en aperçoit pas, Shaolan fut son premier et seul amour... ce sentiment incestueux serait-il toujours présent?
(Autant ne pas le perdre, c'est une jolie intro x'D) - Spoiler:
Non mais il n’en avait pas marre? On lui fonça encore dessus, cette fois-ci accompagné d’un cri bestial. Il esquiva. Une nouvelle attaque, digne du grand bagarreur des rues qu’il était. Il esquiva à nouveau.
Ayant marre de ce petit jeu, Itaru attrapa le bras armé d’un point américain, laissant la brute foncer dans le vide, il utilisa la force de cette dernière contre elle. Immobilisant sa cible en lui donnant un coup de genou dans le dos, le jeune homme pressa son index et son majeur sur un nerf du cou de sa proie qui s’évanouit aussitôt en tentant en vain de se ressaisir. Puis alors que Itaru prit sa victime telle une poche de patates, sa casquette tomba, dévoilant un visage féminin et une longue chevelure rousse.
Son collègue en était abasourdi.
- Wah la chance tout de même d’avoir été dans une famille traditionnelle… - … Ouais, si on peut dire. - T’as jamais pensé entrer dans un truc type l’armée et tout ça? - … Non.
Itaru pouvait bien supporter ses collègues, mais certains comme celui-là étaient bien trop bavards et avaient trop soif d’action. Placide et froid, il ne répondait qu’avec peu de mots, le rendant plus ou moins distant avec ses précédents partenaires. Pourtant, il ne les traitait pas méchamment, il pouvait même sortir avec eux de temps à autres. C’était juste que… il n’était pas très bavard pour être poli. Si ses supérieurs ne le renvoyaient pas, c’est qu’il était plus qu’utile et acceptait parfaitement l’autorité. Car Itaru ne voulait point plus de promotions qu’il n’en avait déjà eu auparavant.
Plaçant la jeune fille dans la voiture pour l’emmener au poste, il eut un air de dégoût en la regardant, malgré son joli minois et ses vêtements déchirés, montrant une certaine pauvreté. Arrêtée pour tapage nocturne au beau milieu de la nuit. Sérieusement, il n’y avait que des tarés pour s’amuser à déranger la paix des autres… surtout des familles. Si Itaru ne tentait pas de s’équilibrer un minimum, cette demoiselle serait pulvérisée et laissée pour morte dans une ruelle sans aucun jugement équitable.
Le gendarme entra dans sa voiture. N’étant pas policier, il aurait sûrement des problèmes, mais à quoi bon. La vieille dame leur avait demandé de l’aide et il en avait offert…
Itaru ajusta son rétroviseur, il fixa son reflet des ses yeux vairons. Depuis ce jour-là, il s’était dit que finalement, cet œil bleu, il représentait le démon en lui. Cette envie irrésistible de faire mal, de faire souffrir, pour montrer… quelque chose. Cette sensation, était-ce sa façon de montrer qu’il aimait?
- On y va?! dit son collègue en lui tapotant l’épaule.
Il ne répondit pas, attacha sa ceinture et démarra le moteur. Puis du coin de l’œil, il vit l’adolescente inconsciente et lui lança un regard plein de haine.
[…]
En arrivant chez lui après quelques heures de route, Itaru se prépare à dormir.
Il a tabassé une jeune fille qui devait avoir treize ans pour tapage nocturne. Il n’a pas été des plus amicaux avec son collègue. Il s’est attiré des problèmes au sein de la police japonaise. Il a jeté ensuite la rousse au poste comme un vulgaire objet. Il a souri en pensant à ses derniers crimes pour lesquels il était payé.
Et il ne regrette rien.
- Prénom : ///
- Age : ///
- Serez vous actif ? : (Note 4/10)
- Par qui ou comment avez vous connu le forum ? : Rim Suzuki
- Avez vous lu le règlement ? : Ok par Li-Sensei o3o
PS: Mon avatar fait une taille de 200x400, contrairement au règlement. Hors j'ai remarqué beaucoup de liberté des membres à propos de ces derniers, puis-je donc le garder ainsi?
Dernière édition par Itaru Li le Lun 6 Déc - 2:36, édité 43 fois |
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